Le Grand Conseil de la ville de Mancy vient de fermer le volet politique sur un sujet sensible. Les députés ont récemment pris une décision qui ne manquera pas de susciter des réactions. Dans cet article, nous allons examiner de plus près cette décision et tenter de comprendre les implications qu’elle pourrait avoir pour la vie politique de la ville. Nous allons également explorer les réactions des différents acteurs concernés et tenter d’analyser les éventuelles conséquences à long terme de cette décision.
Les députés du Grand Conseil ont clôturé le volet politique de l’affaire du foyer de Mancy en acceptant le rapport de la commission de contrôle de gestion lors d’une session parlementaire jeudi soir. Cette structure accueille des mineurs atteints de pathologies complexes telles que l’autisme et avait fait l’objet de témoignages faisant état de manque de moyens et d’un lieu inadapté pour les enfants fragiles. Les enquêtes qui ont suivi ont mis en lumière un personnel tendu et divisé, des relations difficiles au sein du foyer ainsi qu’avec les différentes instances dirigeantes, y compris le Département de l’instruction publique, et la Magistrate Anne Emery-Torracinta, dont la responsabilité politique est engagée.
Le président de la commission, Cyril Aellen, a souligné la nécessité de moderniser la gestion des ressources humaines du canton et des méthodes de travail pour répondre aux besoins des enfants souffrant de pathologies complexes. Les partis politiques ont pris la parole pour défendre leur position, certaines exprimant leur amertume, et d’autres appelant à améliorer les soins pour les jeunes.
La Conseillère d’État, Anne Emery-Torracinta, a présenté ses excuses aux parents et a informé l’assemblée des mesures prises pour améliorer la situation dans le foyer, notamment la mise en place d’une équipe pluridisciplinaire et des supervisions. Elle a également souligné la nécessité de revoir la gouvernance de l’Office médico-pédagogique et de fournir les moyens nécessaires pour leur travail, notamment en matière de personnel administratif, logistique et hiérarchique.
En conclusion, les députés ont estimé que le rapport de la commission avait fait un travail minutieux, pointant divers aspects à améliorer, et que l’État devait veiller à ce que les jeunes atteints de pathologies complexes soient correctement pris en charge et traités.