Communiqué de presse
physique.chem-ph
22 septembre 2022
Le rayonnement X doux du soleil est responsable de la production de photoélectrons de haute énergie dans les régions D et E de l’ionosphère, où ils déposent la majeure partie de leur énergie d’ionisation.
Les photoélectrons créés par ce processus sont les principaux moteurs de la dissociation de la molécule d’azote (N2) en dessous de 200 km. De plus, la dissociation de N2 est l’un des principaux mécanismes de la production d’oxyde nitrique (NO) à ces altitudes. Afin d’estimer le taux de dissociation de N2, nous avons besoin de ses sections efficaces de dissociation.
Les sections efficaces de dissociation de N2 par les photoélectrons sont principalement estimées à partir des sections efficaces de ses états d’excitation en utilisant des facteurs de prédissociation et des canaux d’ionisation dissociatifs. Malheureusement, le manque de données sur les sections efficaces, en particulier aux énergies électroniques élevées et aux états excités plus élevés de N2 et N + 2, introduit beaucoup d’incertitude dans le calcul du taux de dissociation, ce qui conduit par la suite à des incertitudes sur le taux de production de NO à partir de ce la source.
Srimoyee Samaddar, Karthik Venkataramani, Justin Yonker, Scott. M. Bailey
Matières : Chimie Physique (physics.chem-ph) ; Astrophysique terrestre et planétaire (astro-ph.EP); Physique atmosphérique et océanique (physics.ao-ph)
Citer comme suit : arXiv:2209.11185 [physics.chem-ph] (ou arXiv:2209.11185v1 [physics.chem-ph] pour cette version)
https://doi.org/10.48550/arXiv.2209.11185
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Historique des soumissions
De : Srimoyee Samaddar
[v1] mar. 20 sept. 2022 22:21:17 UTC (1 223 Ko)
https://arxiv.org/abs/2209.11185
Astrobiologie,
Co-fondateur de SpaceRef, membre du Explorers Club, ex-NASA, équipes extérieures, journaliste, espace et astrobiologie, grimpeur décédé.