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L’analyse du CNEL ferme la porte au Smic légal (avec le non de la CGIL) : “Les salaires prévus dans les contrats sont adéquats”

L’analyse du CNEL ferme la porte au Smic légal (avec le non de la CGIL) : “Les salaires prévus dans les contrats sont adéquats”

2023-10-04 20:31:43

« Le système de la négociation collective Les Italiens bougent, globalement, en un sens différent de celui du taux horaire« . La phrase apparaît à la page 18 du document « synthèse et analyse » du salaire minimum produit par Colonel sur mandat du premier ministre Giorgia Meloni après l’initiative conjointe de oppositions. Et c’est le fil conducteur qui traverse tout le texte. La deuxième partie, la plus attendue car dédiée à les propositions béton, sera livré aux nouveaux conseillers dans les prochaines heures. Mais ces premiers « éléments de réflexion », approuvés par la Commission de l’Information avec le numéro de CGIL et l’abstention de Uil, ne laissez pas beaucoup de doute sur le point de chute. “Le document ferme la porte au salaire minimum en faveur d’une extension des conventions collectives de travail”, a commenté l’économiste de l’OCDE sur Twitter. Andrea Garnero. « Une option qui est pourtant notable obstacles juridiques et politiques« . La CGIL entend rester à la table mais conteste tant la méthode que le fond. « Nous avons souligné que cette discussion n’est pas neutre politiquement et nous pensons que les propositions ne devraient pas faire l’objet d’une médiation au CNEL puisqu’il existe un discussion parlementaire ouvert et le gouvernement ne nous a pas convoqués”, explique al fattoquotidiano.it le secrétaire confédéral Tania Scacchetti.

Dans les 24 pages du texte, il faut le dire, les efforts d’équilibrage ne manquent pas. Car sur plusieurs points, à commencer par quantification des minimums prévu par la négociation, les 15 membres de la commission dans laquelle ils siègent syndicats, Confindustria, Confartigianato e Confcommercio ils ont des positions différentes. L’essentiel, cependant, est que les problèmes à résoudre sont très différents (voir « le nœud du problème » productivité“), et heures minimales établi par la loi n’éliminerait pas le travail médiocre, les conventions collectives nationales de travail couvrent la grande majorité des travailleurs et « un traitement salarial contractuel est par définition adéquat si le résultat d’un système de relations professionnelles représentatives”. Une croyance qui suit celle de gouvernement et le contenu du mémoire déposé au Parlement par le Président Renato Brunettamais malheureusement cela vient d’être démenti par Cassation. « Mais pour nous, la priorité est une règle sur la représentation donner une efficacité erga omnes aux contrats et lutter contre les contrats piratés, mais avec un salaire minimum qui sert de base limite en dessous de laquelle on ne peut pas descendre», poursuit Scacchetti. “Ce document nous laisse penser que les propositions ne prendront pas en considération cette position.”

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“Tra le forze sociali e gli esperti si registrano posizioni alquanto diversificate se non contrapposte”, è la premessa del documento, secondo cui “non è dato sapere l’impatto di una eventuale legge in materia di salario minimo sul sistema economico e produttivo e sulla même Finance publique en référence au problème de l’externalisation et contrats de services dans les administrations publiques» et « les effets possibles sur les travailleurs individuels et sur la dynamique globale du marché du travail restent flous – et en tout cas largement débattus – (même si les études empiriques sur d’autres pays abondent).

Le fait que 22 des 27 États européens aient adopté un minimum légal n’est pas pertinent car le directif L’UE de 2022, affirme le texte, n’oblige pas les pays dans lesquels les conventions collectives nationales de travail couvrent au moins 80 % des travailleurs à introduire un salaire minimum. Et en Italie, la couverture “est proche de 100%”, même si, admettent les élus, il existe “des secteurs ou des domaines de travail (par exemple les contrats de services) qui Cependant, ils ne semblent pas garantir une rémunération adéquate (du moins selon les indicateurs proposés par la directive européenne, soit 60% du salaire brut médian et 50% du salaire brut moyen, et comme le confirme interventions récentes du pouvoir judiciaire) » et sert « notamment Attention” Al travail irrégulier et non déclarétous’abus d’apprentissage et à l’incidence de temps partiel involontaire. Ainsi que, lit-on plus loin, « des pratiques contractuelles peu ou pas transparentes et où l’on peut souvent constater des phénomènes qui échappent aux protections de la loi et de la convention collective ». D’où la nécessité d’un « plan d’action national » pour l’adaptation des négociations « aux transformations de l’offre et de la demande de travail ».

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Et moi 7,5 millions de travailleurs qui ont la convention collective, mais expiré depuis des années, avec des répercussions évidentes sur eux pouvoir d’achat? La question est évoquée mais pour souligner que « le retard n’est pas toujours synonyme de pas d’adéquation du salaire ou absence de mécanismes contractuels de congés, concessions ponctuelles (pensez au renouvellement du contrat tertiaire où ont été introduites des mesures “ponts” qui résolvent le problème au moins pour toute l’année 2023), c’est-à-dire des mécanismes d’ajustement aux tendances de l’inflation”. Le message est clair : le problème n’est pas si grave. Et en tout cas, au moins nominalement, le système national de conventions collectives de travail « même avec des exceptions non négligeables »dépasse plus ou moins largement« les seuils de 50 % du salaire moyen et de 60 % du salaire médian fixés par la directive européenne comme points de référence et égaux respectivement à 7h10 et 6,85 euros de l’heure. Ici aussi, tout va bien, selon la Commission de l’information, qui reconnaît toutefois que “des problèmes critiques sont présents” dans une très longue liste de secteurs : travaux agricoles et domestique, multiservices, services de confiance, « ces derniers très répandus dans les marchés publicsmais aussi des particuliers”, secteur du tourisme, établissements publics, logistiquetravail sportif, culturel et artistique, activités de soins et d’assistance à la personne exercées sous une forme organisée, contrats de services. Ce qui nécessite « une enquête plus approfondie appropriée ».

Quant au fléau des contrats piratés, on se limite à le déclassifier en «phénomène marginal» puisque les 335 conventions collectives nationales déposées au CNEL et signées par des syndicats non représentés au sein du Conseil ne couvrent que 54.220 ouvriers, 0,4%. Un fait bien connu qui ne tient cependant pas compte de deux facteurs : il n’est pas certain que le contrat communiqué par l’entreprise à l’institution de sécurité sociale soit celui effectivement appliqué au salarié en ce qui concerne la partie économique, il Il est possible que le champ d’action des “pirates” soit beaucoup plus large qu’il n’y paraît. Et la simple existence de ces contrats est un moyen de chantage ce qui renforce le pouvoir des employeurs dans la signature et le renouvellement des principaux.

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Le salaire minimum est mentionné uniquement pour dire que le choix final reviendra au décideur politique et pour souligner les « problèmes critiques liés à la base d’informations disponibles » : il y a un manque de données pour « un évaluation de l’impact sur les entreprises et le système de production”, les tarifs envisagés par les lois proposées sont “incomparables” aux données de la masse salariale effectivement perçues par les travailleurs qui sont utilisées par État pour évaluer l’impact sur les travailleurs (Istat ne le pense pas), le Base de données Cnel-Inps sur les contrats ne communique pas avec le système de communications obligatoires des employeurs au ministère, parmi les membres de la commission “il n’y a pas d’accord total sur les éléments salariaux à prendre en considération pour quantifier le salaire minimum” (mais la proposition de l’opposition est très clair dans l’établissement que je 9 euros brut de l’heure ne doit pas comprendre le 13, le 14, l’indemnité de départ, l’indemnité et la retraite complémentaire). Des difficultés techniques plus ou moins compréhensibles qui ouvrent la voie à un arrêt politique. L’opposition répond en relançant la collecte de signatures en faveur de sa proposition. Lequel reviendra au Parlement pour le vote du 17 octobre.



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