L’Allemagne entre affaire de témoin et deuil pour Viessmann

Le problème ne réside pas dans les objectifs eux-mêmes, mais dans la manière dont Graichen veut les atteindre en tant que réformateur suprême de Habeck : à travers des plans qui accablent, imposent, prescrivent et interdisent beaucoup. Ceux qui s’appuient moins sur des innovations ou des instruments comme le prix du CO2 et plus sur des dates de sortie, des quotas, des réglementations – et des valeurs limites absurdes comme l’âge d’un chauffagiste. Le problème est que Graichen ne voit pas la politique comme “percer des dalles épaisses”, comme un processus dans lequel on cherche à équilibrer les intérêts – et, comme on le dit si souvent, “emmène les gens avec”.

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Il y a toujours eu des interdictions – des CFC et de l’essence au plomb aux ampoules électriques. Mais les radiateurs ne sont pas une toxine ou quelque chose que vous dévissez puis remplacez simplement par des LED. Il s’agit de millions de maisons et du travail d’une vie. Il faut espérer que les plans de construction de Graichen ne deviendront pas loi sous cette forme.