Deux nouveaux rapports indiquent que la Norvège doit augmenter sa production d’électricité bien plus qu’elle ne l’a fait précédemment est posé comme base.
- Le rapport de la société d’audit et de conseil PwC indique que la Norvège doit avoir 75 TWh plus d’électricité d’ici 2030. C’est 50 % de plus que la production actuelle (150 TWh).
- Le rapport de la fondation Det Norske Veritas (DNV) pointe “un important déficit d’électricité” et que la Norvège ne peut qu’oublier le nouvel objectif climatique d’une réduction de 55 % d’ici 2030.
Le gouvernement norvégien se passe le l’objectif officiel à quelques jours du sommet sur le climat en Égypte.
– Nous pensons qu’il y a un manque de lien entre les objectifs du virage vert et la volonté de construire de nouvelles énergies renouvelables, déclare Øystein Fossen Thorud, directeur de PwC et co-auteur du rapport.
– Les invités étrangers bouche bée
Mardi, le Premier ministre Jonas Gahr Støre était à Sunnfjord pour mettre en lumière l’ouverture de la centrale électrique de Jølstra, l’une des plus grandes centrales hydroélectriques construites ces derniers temps.
À 300 mètres dans la montagne, il a qualifié la centrale électrique de “cathédrale” et de “témoignage de l’ingénierie norvégienne”.
– Il s’agit en fait d’une contribution au patrimoine mondial, dit-il à NRK.
Il ajoute:
– Les invités étrangers restent bouche bée quand ils voient ce que nous pouvons faire. Jouons le jeu.
– Avez-vous réussi à ouvrir plusieurs « cathédrales » durant votre règne ?
– Hé bien, ça prend du temps, alors. Cette installation est sur la planche à dessin depuis les années 90. Nous craignons donc que la planification n’aille plus vite. Parce que nous avons besoin de puissance plus rapidement.
– Il faudra un grand courage politique
En septembre, un rapport de l’Agence norvégienne pour l’environnement a montré que la Norvège avait besoin de jusqu’à 34 térawattheures (TWh) d’électricité supplémentaire pour répondre aux exigences d’émission de l’Accord de Paris (voir encadré).
Le nouveau le rapport de la société d’audit et de conseil PwC affirme donc que le besoin est double.
Le directeur de la société, Øystein Fossen Thorud, déclare que « il faudra un grand courage politique pour réaliser un investissement dans une nouvelle production d’électricité ».
– Alternativement, nous pouvons continuer à pousser le problème devant nous.
Le signal correspondant provient de directeur je Industrie norvégienne Stein Lierre-Hansen, qui était à Dagsnytt Atten mardi (voir ci-dessous).
– Vous ne pouvez pas effectuer une transition verte si vous n’avez pas un accès suffisant aux électrons verts. C’est en quelque sorte tout l’intérêt, dit-il.
Plus grand : – Met aussi de faire plus dans le cadre de la protection
“Le temps des nouveaux grands développements hydroélectriques en Norvège est révolu”.
C’est ce que le Premier ministre Jens Stoltenberg (Ap) a déclaré en si Discours du Nouvel An en 2001.
Jonas Gahr Støre, qui était à la même époque secrétaire d’Etat de Stoltenberg, estime néanmoins que l’ancien patron a tenu parole.
– Je pense qu’il a souligné que nous devons prendre soin de la nature norvégienne, et nous le devons. Mais aujourd’hui, les nouvelles technologies permettent de faire plus au sein de la défense que ce que nous savions en 2002, et nous devons saisir ces opportunités.
Un NTNUétude dit que les voies navigables norvégiennes ne peuvent produire 15 à 20 térawattheures de plus qu’avec l’aide de la modernisation et de l’expansion.
NVE est plus sobre et calcule le potentiel 7,6 TWh.
André les réponses politiques à la crise énergétique annoncée sont plus d’énergie éolienne, plus d’énergie solaire et Nouveau règles fiscales pour stimuler davantage le développement de l’hydroélectricité.
j’auguste notifier Light qu’ils investiront 5 milliards de NOK pour moderniser et agrandir la centrale électrique de Røldal-Suldal (RSK). Les plans comprennent trois nouvelles centrales électriques qui, ensemble, peuvent augmenter la production d’électricité de 200 à 250 GWh.
C’est autant que ce que produit la nouvelle centrale hydroélectrique de Jølster.
– Flaumvern peut être une source de force
Les dernières années ont connu des conditions météorologiques plus extrêmes inverse sur la relation entre la conservation de la nature, la protection contre les inondations et la production d’électricité.
A Voss, les ravages de l’automne font que beaucoup de gens se demandent s’il ne faut pas laisser plus d’eau son.
Parmi ceux qui ont une bonne opinion figure le maire du village, Hans-Erik Ringkjøb (Ap), qui est également membre de Le Commissariat à l’Energie.
– C’est un homme sage, dit Støre.
– Flaumvern peut être une source de force, donc je suis d’accord que nous devons examiner cela. Et ici, il y a beaucoup d’expertise dans l’environnement électrique norvégien pour utiliser de nouvelles solutions.