Lancé sur une fusée Falcon 9, un
” data-gt-translate-attributes=”[{“attribute=””>SpaceX[{“attribute=””>SpaceX Le vaisseau spatial de ravitaillement Dragon transportant plus de 5 800 livres d’expériences scientifiques, de fournitures d’équipage et d’autres marchandises est en route vers le Station spatiale internationale (ISS) après son lancement à 20h44 HAE (17h44 HAP) jeudi à partir de Centre spatial Kennedy de la NASA en Floride.
L’engin spatial lancé sur une fusée SpaceX Falcon 9 à partir de Launch Pad 39A à Kennedy pour la 25e mission de services de réapprovisionnement commercial de l’entreprise pour
” data-gt-translate-attributes=”[{“attribut=””>NASA[{“attribute=””>NASA. Il devrait s’amarrer de manière autonome à la station spatiale vers 11h20 HAE (8h20 HAP) le samedi 16 juillet et y rester pendant environ un mois. La couverture en direct de l’arrivée commencera à 10 heures sur NASA Television, l’agence site Internetet le Application Nasa.
Parmi les expériences scientifiques que Dragon livre à la station spatiale figurent :
Cartographier la poussière terrestre
Développé par Laboratoire de propulsion par réaction de la NASA dans le sud de la Californie, l’enquête sur les sources de poussière minérale à la surface de la Terre (ÉMETTRE) utilise la technologie de spectroscopie d’imagerie de la NASA pour mesurer la composition minérale de la poussière dans les régions arides de la Terre. La poussière minérale soufflée dans l’air peut parcourir des distances importantes et affecter le climat, la météo, la végétation et plus encore de la Terre. Par exemple, la poussière contenant des minéraux foncés qui absorbent la lumière du soleil peut réchauffer une zone, tandis que la poussière minérale de couleur claire peut la refroidir. La poussière soufflée affecte également la qualité de l’air, les conditions de surface telles que le taux de fonte des neiges et la santé du phytoplancton dans l’océan. L’enquête recueille des images pendant un an pour générer des cartes de la composition minérale dans les régions de la Terre qui produisent de la poussière. Une telle cartographie pourrait faire progresser notre compréhension des effets de la poussière minérale sur les populations humaines aujourd’hui et à l’avenir.
Vieillissement plus rapide du système immunitaire
L’immunosénescence correspond aux modifications de la réponse immunitaire associées au vieillissement. La microgravité provoque des changements dans les cellules immunitaires humaines qui ressemblent à cette condition, mais se produisent plus rapidement que le processus réel de vieillissement sur Terre. La Immunosénescence L’enquête, parrainée par le laboratoire national américain de la Station spatiale internationale, utilise des puces tissulaires pour étudier comment la microgravité affecte la fonction immunitaire pendant le vol et si les cellules immunitaires se rétablissent après le vol. Chips de tissus sont de petits appareils qui contiennent des cellules humaines dans une structure 3D, permettant aux scientifiques de tester la façon dont ces cellules réagissent aux stress, aux médicaments et aux changements génétiques.
Le sol dans l’espace
Des communautés complexes de micro-organismes sur Terre remplissent des fonctions clés dans le sol, y compris le cycle du carbone et d’autres nutriments et soutiennent la croissance des plantes. Dynamique des microbiomes dans l’espace parrainé par la Division des sciences biologiques et physiques de la NASA, examine comment la microgravité affecte les interactions métaboliques dans les communautés de microbes du sol. Cette recherche se concentre sur les communautés microbiennes qui décomposent la chitine, un polymère de carbone naturel sur Terre.
Étude météorologique pour les élèves du secondaire
CastorCube est une mission éducative qui enseignera les sciences aérospatiales à des élèves du secondaire en leur faisant concevoir un CubeSat. BeaverCube hébergera un imageur visible et deux infrarouges pour mesurer les propriétés des nuages, les températures de surface de l’océan et la couleur de l’océan afin d’étudier les systèmes climatiques et météorologiques de la Terre. Il démontrera également une application pour l’utilisation de la mémoire de forme
” data-gt-translate-attributes=”[{“attribute=””>alliage[{“attribute=””>alloy technologie via une technique d’étalonnage en orbite.
Des gènes, pas de cellules
La technologie sans cellule est une plate-forme pour produire des protéines sans équipement spécialisé de cellules vivantes qui doivent être cultivées. Gènes dans l’espace-9, parrainé par le National Lab, démontre la production acellulaire de protéines en microgravité et évalue deux biocapteurs acellulaires capables de détecter des molécules cibles spécifiques. Cette technologie pourrait fournir un outil simple, portable et peu coûteux pour les diagnostics médicaux, la production à la demande de médicaments et de vaccins et la surveillance environnementale lors de futures missions spatiales.
Meilleur béton
Recherche sur les biopolymères pour les capacités in situ examine comment la microgravité affecte le processus de création d’une alternative au béton faite d’un matériau organique et de matériaux sur place, tels que la poussière lunaire ou martienne, connue sous le nom de composite de sol biopolymère. L’utilisation des ressources disponibles là où la construction a lieu permet d’augmenter la quantité de blindage.
Ce ne sont là que quelques-unes des centaines d’investigations actuellement menées à bord du laboratoire orbital dans les domaines de la biologie et de la biotechnologie, des sciences physiques et des sciences de la Terre et de l’espace. Les progrès dans ces domaines aideront à garder les astronautes en bonne santé pendant les voyages spatiaux de longue durée et à démontrer les technologies pour l’exploration humaine et robotique future au-delà de l’orbite terrestre basse jusqu’au Lune et Mars à travers Le programme Artemis de la NASA.