Depuis décembre 2020, la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara Occidental (MINURSO) avait interrompu ses patrouilles à l’est du mur de défense suite à l’obstruction du Front Polisario. Cette situation avait suscité des préoccupations quant à la sécurité de la population civile dans la zone tampon et avait entravé les efforts de la communauté internationale pour parvenir à une solution viable au conflit du Sahara Occidental. Cependant, la MINURSO a finalement repris ses déplacements à l’est du mur de défense, marquant ainsi une étape importante dans les démarches visant à surmonter les impasses politiques. Dans cet article, nous allons examiner les conséquences de cette reprise sur la situation au Sahara Occidental et les perspectives pour un règlement définitif du conflit.
Le convoi de la Mission des Nations Unies pour l’Organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO) a fini par approvisionner deux de ses sites situés à l’est du mur de sable à Tifariti et Mehaires. Cette action a eu lieu entre le 5 et le 7 avril, avec le soutien du Front Polisario et du Maroc, comme l’a déclaré le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, Stéphane Dujarric. Il a également souligné l’importance de maintenir cette action pour permettre à la mission de poursuivre ses efforts sur le terrain et sa présence sur l’ensemble du territoire. Les problèmes d’approvisionnement ont eu des “conséquences de plus en plus graves” sur les capacités des équipes de la MINURSO à l’est du mur, selon le dernier rapport du secrétaire général de l’ONU en octobre 2020. Cette reprise intervient quelques jours avant une rencontre du Conseil de Sécurité pour discuter de la situation au Sahara. Enfin, le mois dernier, des représentants des parties et du “groupe d’amis du Sahara” ont eu des rencontres informelles à New York.
Amazonas et Paysandu ressentent la chaleur et sont à égalité 1-1 à Manaus
Amazonas voulait gagner pour la deuxième fois à l’Arena da Amazônia, tandis que Paysandu cherchait toujours sa
