Dans un contexte d’évolution constante de la législation concernant les pensions alimentaires pour enfants, l’association Sauvons les Enfants – SaS a récemment critiqué un « amendement » proposé par la députée Záborská. Cette proposition vise à modifier la loi sur les pensions alimentaires pour enfants en y ajoutant une clause qui pourrait avoir un impact significatif sur les droits des parents et des enfants concernés. Dans cet article, nous allons examiner en détail les arguments avancés par SaS contre cette proposition, ainsi que les implications possibles de son adoption pour les familles en France.
Le SaS d’opposition attire l’attention sur la proposition d’amendement présentée par la députée Anna Záborská (OĽANO) et les députés d’OĽANO à la loi sur les allocations pour la naissance d’un enfant. Il affirme que grâce à la proposition, les organisations amies de Záborská pourraient tirer de l’argent du budget de l’État, en particulier du chapitre du Bureau du gouvernement de la République slovaque.
Photo: TASR, Martina Kriková
Anna Záborská (OĽaNO) lors de la session plénière du NRSR, novembre 2021.
“Aujourd’hui, les subventions du bureau du gouvernement peuvent servir à soutenir des monuments culturels nationaux, à soutenir des sports ou à résoudre des problèmes de la communauté rom. La proposition d’Anna Záborská veut cependant élargir ce cercle pour y inclure des organisations amies pro-vie », a souligné la députée Jana Bittó Cigániková (SaS). Il considère qu’il est discriminatoire et inadmissible que le bureau du gouvernement soutienne financièrement exclusivement les organisations dont l’activité principale est la lutte contre les droits des femmes et l’avortement.
La proposition de modification de la loi sur l’allocation de naissance et l’allocation pour plusieurs enfants nés en même temps prévoit une augmentation de l’allocation de naissance d’un quatrième enfant à hauteur de 829,86 euros.