LOS ANGELES (ANTARA) – La Californie a confirmé le premier décès dû au monkeypox cette année aux États-Unis.
Le département de la santé publique de Los Angeles et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont confirmé lundi qu’un résident du comté de Los Angeles est décédé d’une infection au monkeypox.
Le résident était “gravement immunodéprimé et a été hospitalisé”, selon un communiqué du département de la santé publique de Los Angeles.
Aucune autre information concernant l’individu, telle que l’âge, le sexe ou l’origine ethnique, n’a été fournie par le ministère, qui a cité la nécessité de protéger “la confidentialité et la vie privée”.
Certaines personnes atteintes de troubles graves du système immunitaire qui soupçonnent qu’elles ont la variole du singe sont encouragées à consulter rapidement un médecin et à rester sous la garde de prestataires pendant toute la durée de leur maladie, a indiqué le département.
Il s’agit du premier décès connu de monkeypox signalé aux États-Unis.
Lundi, près de 22 000 cas de monkeypox ont été confirmés aux États-Unis, selon les dernières données du CDC. Jusqu’à présent, la Californie a signalé le plus grand nombre de cas confirmés de monkeypox parmi tous les États américains, avec 4 300 cas.
Traducteur : Xinhua
Editeur : Atman Ahdiat
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