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Kampar est choisi par le gouvernement pour être l’hôte de la Journée nationale d’ouverture de l’information.

Kampar est choisi par le gouvernement pour être l’hôte de la Journée nationale d’ouverture de l’information.

Le gouvernement a choisi Kampar pour accueillir la toute première Journée nationale d’ouverture de l’information. Cette décision est à la fois un honneur et une reconnaissance de la ville pour son engagement en faveur de la transparence et de l’accès à l’information. L’événement aura lieu dans quelques semaines et sera une occasion pour les représentants gouvernementaux, les médias et le grand public de discuter des questions clés liées à la transparence et à l’accès à l’information. Cette journée est un pas en avant important pour promouvoir la transparence et l’ouverture dans toute la Malaisie.

Pekanbaru, Riau (ANTARA) – Le gouverneur de Riau, Syamsuar, a salué la désignation du district de Kampar comme hôte de l’événement commémoratif de la Journée nationale de l’ouverture de l’information (HKIN), qui tombe le 4 mai 2023.

“Par conséquent, nous avons tenu une réunion aujourd’hui pour préparer Kampar, Riau, en tant qu’hôte de HKIN”, a-t-il déclaré à la presse lors de la visite samedi du président de la Commission centrale de l’information (KIP), Donny Yoesgiantoro, et d’autres responsables du KIP.

Le gouverneur a discuté de plusieurs préparatifs avant la commémoration de HKIN avec le gouvernement du district de Kampar et la Commission d’information du district de Kampar (KI).

Au cours de la réunion, il a été décidé que le KIP inviterait le président Joko Widodo (Jokowi) au sommet de HKIN à Kampar, a-t-il déclaré.

“Si nous invitons le président Jokowi, nous devons préparer d’autres événements, en plus des événements qui ont été fixés par le KIP”, a-t-il ajouté.

Pendant ce temps, Yoesgiantoro a exprimé sa gratitude au gouverneur pour avoir apporté son soutien à la mise en œuvre de HKIN à Kampar.

“Il faut qu’il y ait des préparatifs, pour qu’il puisse se tenir correctement. Pour cela, nous tenons à remercier le Gouverneur de Riau pour son soutien”, a-t-il déclaré.

Dans le cadre de la commémoration de la Journée nationale de l’ouverture de l’information cette année, a-t-il déclaré, son parti a organisé un test d’aptitude et d’aptitude pour le prix Tinarbuka à Banten le 27 mars.

L’évaluation du contrôle de l’ouverture de l’information publique était fondée sur la loi n° 14 de 2008 relative à l’ouverture de l’information publique.

“L’équipe d’évaluation a testé les organisateurs électoraux, les chefs de bureaux, les directeurs des unités de travail de l’appareil provincial, les chefs de district et les maires”, a-t-il déclaré.

Le prix Tinarbuka aura lieu lors du sommet de commémoration de HKIN à Kampar le 4 mai.

Il a informé que son côté avait envoyé une lettre au président Widodo et au ministre coordinateur de la politique, du droit et de la sécurité pour inviter le président à la cérémonie de remise des prix.

“Nous nous sommes coordonnés avec le ministère du Secrétariat d’État pour demander la volonté du président Joko Widodo d’assister au prix Tinarbuka”, a déclaré Yoesgiantoro.

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Traduit par : Frislidia, Kenzu
Monteur : Aziz Kurmala
COPYRIGHT © ANTARA 2023

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Donnez un titre à ce contenuLes troubles de la déglutition ne sont pas anodins : les conséquences possibles sont la malnutrition, la perte de poids et la déshydratation. Grâce à des chercheurs allemands et américains, on en sait un peu plus sur le processus en cause.  Troubles de la déglutition : le rôle clef du nerf vague  D’après leurs travaux publiés dans la revue “Neurone“, il apparaît que ce problème, qui fait que certaines personnes ont du mal à avaler les aliments et/ou les liquides, résulterait d’un défaut du nerf vague qui assure la communication entre le cerveau et de nombreux organes du corps.  En effet, ce sont les cellules sensorielles du nerf vague qui détectent et localisent les aliments dans l’œsophage et dont les signaux aident à transporter les aliments vers l’estomac. Dans le cas des troubles de la déglutition, les chercheurs décrivent comment les cellules sensorielles du nerf vague réagissent à des stimuli mécaniques dans l’œsophage et déclenchent des mouvements musculaires involontaires, un processus connu sous le nom de péristaltisme œsophagien.  Pour arriver à cette conclusion, le Dr Teresa Lever, de la faculté de médecine de l’université du Missouri à Columbia (États-Unis), a mis au point une méthode qui a permis aux chercheurs d’observer en temps réel la déglutition chez des souris au comportement libre et non anesthésiées.  Trouble de la déglutition : vers un meilleur traitement ?   Après avoir désactivé leurs neurones sensoriels dans les “ganglions vagaux” – et “nœud” de corps neuronaux dans le système nerveux, qui permettent la déglutition, les scientifiques ont découvert que les souris ont “perdu la capacité d’effectuer par réflexe les mouvements musculaires appropriés qui transportent les aliments vers l’estomac, et elles ont rapidement perdu du poids“, explique l’auteur principal, le Dr Elijah Lowenstein.  Ainsi, en l’absence de ces cellules dans le nerf vague, la nourriture reste bloquée dans l’œsophage. Chez certaines souris, les aliments remontaient en outre dans la gorge.  “Nos travaux peuvent maintenant aider à développer de meilleurs traitements pour les troubles de la déglutition. Une option serait d’activer pharmacologiquement les récepteurs mécaniques que nous avons identifiés“, explique le professeur Carmen Birchmeier, qui dirige le laboratoire de biologie du développement et de transduction des signaux au centre Max Delbrück de Berlin.

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Les troubles de la déglutition ne sont pas anodins : les conséquences possibles sont la malnutrition, la perte de poids et la déshydratation. Grâce à des chercheurs allemands et américains, on en sait un peu plus sur le processus en cause.

Troubles de la déglutition : le rôle clef du nerf vague

D’après leurs travaux publiés dans la revue “Neurone“, il apparaît que ce problème, qui fait que certaines personnes ont du mal à avaler les aliments et/ou les liquides, résulterait d’un défaut du nerf vague qui assure la communication entre le cerveau et de nombreux organes du corps.

En effet, ce sont les cellules sensorielles du nerf vague qui détectent et localisent les aliments dans l’œsophage et dont les signaux aident à transporter les aliments vers l’estomac. Dans le cas des troubles de la déglutition, les chercheurs décrivent comment les cellules sensorielles du nerf vague réagissent à des stimuli mécaniques dans l’œsophage et déclenchent des mouvements musculaires involontaires, un processus connu sous le nom de péristaltisme œsophagien.

Pour arriver à cette conclusion, le Dr Teresa Lever, de la faculté de médecine de l’université du Missouri à Columbia (États-Unis), a mis au point une méthode qui a permis aux chercheurs d’observer en temps réel la déglutition chez des souris au comportement libre et non anesthésiées.

Trouble de la déglutition : vers un meilleur traitement ?

Après avoir désactivé leurs neurones sensoriels dans les “ganglions vagaux” – et “nœud” de corps neuronaux dans le système nerveux, qui permettent la déglutition, les scientifiques ont découvert que les souris ont “perdu la capacité d’effectuer par réflexe les mouvements musculaires appropriés qui transportent les aliments vers l’estomac, et elles ont rapidement perdu du poids“, explique l’auteur principal, le Dr Elijah Lowenstein.

Ainsi, en l’absence de ces cellules dans le nerf vague, la nourriture reste bloquée dans l’œsophage. Chez certaines souris, les aliments remontaient en outre dans la gorge.

Nos travaux peuvent maintenant aider à développer de meilleurs traitements pour les troubles de la déglutition. Une option serait d’activer pharmacologiquement les récepteurs mécaniques que nous avons identifiés“, explique le professeur Carmen Birchmeier, qui dirige le laboratoire de biologie du développement et de transduction des signaux au centre Max Delbrück de Berlin.

Les troubles de la déglutition sont un problème sérieux : les conséquences peuvent inclure la malnutrition, la perte de poids et la déshydratation. Des chercheurs

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