Deux personnes ne s’en occupent pas douleur de la même manière, et il n’y a jamais deux situations impliquant de faire face à une perte terrible qui soient identiques. Mais Vanessa (Jillian Bell) peut avoir l’expérience de deuil la plus unique jamais vécue lorsqu’elle rencontre un extraterrestre (Natalie Morales) qui regarde exactement comme Jennifer, sa meilleure amie de toujours décédée récemment et qui lui manque beaucoup.
Cette rencontre bizarre, déchirante, mais finalement cathartique se déroule à travers Je vais tout à fait bien, une nouvelle comédie mélancolique du réalisateur Brandon Dermer et de l’écrivaine Alisha Ketry. Avec Bell et Morales, le casting présente également un petit mais amusant tour par Ce que nous faisons dans l’ombre‘ Harvey Guillén – alors si jamais vous vouliez voir Guillermo jouez un DJ chipper qui garde des drogues de fête dans son sac de disques, vous avez une raison de regarder Je vais tout à fait bien.
Mais alors que Guillén est délicieux, le film appartient à Bell. Lorsque nous rencontrons son personnage pour la première fois, elle pleure dans sa voiture sur le bord de la route, déterminée à poursuivre un week-end qui était censé être une fête célébrant son succès commercial et celui de Jen. Au lieu de cela, c’est Vanessa seule dans un manoir de location, aux prises avec une angoisse brute, faisant éclater du Xanax et se perdant en champagne apporté par des traiteurs qui insistent pour organiser la fête pour laquelle elle a déjà payé mais ne veut pas. Le lendemain matin, elle se réveille avec une gueule de bois qui fait rage pour découvrir que Jen est en quelque sorte de nouveau vivante et traîne dans la maison avec elle, et suppose immédiatement qu’elle perd la tête.
C’est une préoccupation valable, même lorsque la femme ressemblant à Jen – qui a un langage corporel gênant, parle d’une voix monocorde, épuise par inadvertance la durée de vie de la batterie de tout appareil à proximité et boit des gallons d’huile d’olive – lui assure: “Je suis pas Jen. Je suis simplement une extraterrestre qui a pris sa forme. C’est une “agente d’observation des espèces”, téléportée sur Terre pendant 48 heures pour observer son sujet présélectionné. Vanessa n’est toujours pas sûre de sa propre santé mentale, mais quand Alien Jen révèle qu’elle a tous les souvenirs de Human Jen, Vanessa accepte de jouer le jeu, se disant : “Ça pourrait être amusant de voir à quel point je peux devenir instable !”
You can probably already see where I’m Totally Fine is headed—hurt feelings and hard truths get aired out and the emotional rollercoaster spins around a few times; you might not predict the multiple Papa Roach sing-alongs, however—but the road getting there feels authentic. The script offers a satisfying exploration of wish fulfillment, because who wouldn’t want to spend a bonus 48 hours with a departed loved one, or at least a reasonable facsimile of them, to say all the things you wish you had said, goof around together one last time, and achieve some much-needed closure?
Morales is endearing as the alien who’s startled when she starts to care for her research subject, but Jillian Bell is the movie’s heart. Bell has a long comedy resume, but her work here builds on the performance she gave in 2019’s Brittany Runs a Marathon—another tale of a complicated woman working through some major life changes. Somehow Bell’s character feels just as grounded and relatable here, anchoring a story that feels deeply sincere despite the wacky sci-fi plot twist at its center.
I’m Totally Fine hits theaters, digital, and on demand November 4.
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