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Heidi Levasseur se prépare à traverser l’océan Atlantique à la nage en 2024

Heidi Levasseur se prépare à traverser l’océan Atlantique à la nage en 2024

Le projet de Heidi Levasseur, initialement prévu pour 2019 mais reporté en raison de la pandémie, se concrétisera finalement en 2024. La nageuse de Trois-Rivières prévoit traverser l’océan Atlantique à la nage de décembre à mai prochain. La surnommée “sirène de la Mauricie” nagera de la baie de Dakar, au Sénégal, jusqu’à la ville de Recife, au Brésil, ce qui représente un parcours total de 3000 kilomètres.

“Cela fait longtemps que j’étudie le parcours. Celui-ci est le plus plausible et le plus court. La période de l’année que nous avons choisie n’est pas un hasard. C’est une période assez calme. C’est la zone intertropicale, il fait plus chaud. C’est vraiment le meilleur chemin à suivre”, explique Heidi Levasseur.

La Trifluvienne sera accompagnée d’une équipe de neuf personnes qui la suivra en bateau pour veiller sur sa santé et sa sécurité. “J’ai fait des estimations avec des océanographes et des modulateurs. Si l’on considère que je nage cinq à six jours par semaine, environ six heures par jour, à une vitesse de base de 4 kilomètres à l’heure, cela prendrait environ 150 jours, mais les courants, la fatigue, etc., joueront un rôle”, soutient-elle.

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Un défi plus grand que nature

Selon la nageuse, elle serait la première à réaliser un tel exploit. “Peu importe le parcours dans l’Atlantique, il n’y a rien qui a été homologué. Il y a eu une traversée de Benoît Lecomte en 1998, qui est parti de la côte est américaine vers la France, mais on ne peut pas savoir exactement quelle distance il a nagé parce que quand il prenait ses pauses dans le bateau, le bateau continuait”, nuance-t-elle.

Le report du défi aura finalement été bénéfique pour constituer son équipe et pour mieux se préparer.

Je n’ai pas de peurs, mais il y a des risques, oui. On a des plans déjà pour minimiser les risques. Par exemple, on sait qu’il y a des requins dans l’océan, donc j’ai des bracelets qui émettent des ondes électromagnétiques qui repoussent les requins.

Il y a aussi les méduses et les galères portugaises. Si je les touche, elles peuvent être toxiques, donc je vais porter une combinaison pour m’assurer que ma peau ne puisse pas entrer en contact avec leurs filaments, ajoute-t-elle.

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Le coût du projet GO Atlantica est évalué à trois millions de dollars.

Avec les informations d’Eugénie Larente-Richer
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