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Euroligue : Le Real Madrid est un parc d’attractions : battre Mnaco pour la 19e victoire consécutive | Euroligue 2023

Euroligue : Le Real Madrid est un parc d’attractions : battre Mnaco pour la 19e victoire consécutive |  Euroligue 2023

2023-11-17 00:44:38

Real Madrid 91 AS Monaco 73

Mis à jour

Les Blancs, avec les 21 points de Musa et un basket spectaculaire, ont dominé l’équipe de Mike James et Kemba Walker pendant trois quarts pour rester invaincus.

Poirier complète un alley oop, contre Mnaco.JUANJO MARTINEFE
  • Classification As est la Euroliga

Le Real Madrid est un parc d’attractions, un spectacle itinérant, une machine trop parfaite pour les hauteurs des saisons qu’elle habite. Après les souffrances de La Fonteta mardi, le plaisir est venu contre Monaco hier soir. Une raclée impitoyable contre un rival qui n’est pas exactement une Cendrillon, c’est une foule de stars, Mike James ou Kemba Walker entre autres. Cela n’a pas d’importance pour ce groupe sauvage de Chus Mateoqui en moins de 20 minutes les avait déjà déchirés pour leur 19ème victoire consécutive. [91-73: Narracin y estadstica]

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C’était une nuit qui n’est pas sans rappeler celles des premières années du lassismedu basket féroce et de cirque, d’un rival annulé, de Tavares dominer les cerceaux et lancer des contre-attaques avec des passes de baseball, Accalmie inventer des triples, des blocs et des ruelle oups précieux de Poirier (tout pour Chacho), 30 points dans les huit premières minutes (dont 14, de Appelle-moi Musa), d’un avantage qui était déjà de +20 au quart d’heure et de +30 avant la fin du troisième quart-temps.

Une aube bouleversante face à l’impuissance des Mike James et Motiejunas. Madrid a dominé le rebond et, en plus, a réussi. Un cocktail mortel si l’adversaire ne parvient pas à contenir les transitions blanches. Au milieu du vent, il y a eu une action qui a été le point culminant. Il a économisé comme il a pu Il restait une passe trop forte Rudytombant presque sur Chus Mateo, et Llull, jonglant également, lança un de ses mandarines lorsque la possession était épuisée. Bien sûr, je suis entré. C’était le troisième triple consécutif pour l’Espagnol, qui vient d’avoir 36 ans et qui continue à faire ces tricks comme lorsqu’il était rookie. Le toujours sérieux Sasa Obradovic Je ne savais pas où aller.

La Roca Team a réussi à sauver une partie des meubles avant la pause, lorsque le Real Madrid a dû jouer sans ses tours, accablé par les fautes de Tavares et de Poirier. Un 0-9 partiel lui a laissé un peu de vie, avec l’international français Terry Tarpey en piste, encore une ressource désespérée de Monaco.

Bien que Campazzo Il a rejoint la fête avec huit points d’avance (cette fois il a pu se reposer), la seconde mi-temps a baissé le niveau d’intensité. L’avantage était trop large et il était difficile pour certains de faire pire et d’autres mieux. Cette fois, Madrid n’a même pas eu besoin de faire des dégâts lors du rebond offensif, entre autres en raison de son haut niveau de réussite. La plupart des paniers sont intervenus après des passes décisives (27 au total), pour le plus grand plaisir de Chus Mateo et des spectateurs. Un triple, toujours en transition, de Causeur, étiré au maximum (70-47, min. 25). Encore un petit plus avec ceux de Musa et Llull (80-50). La fête a continué.

Monaco, un prétendant en raison de son budget et de son niveau pour se répéter dans le Final Four, était un rival intimidé. Il n’y avait aucune trace de ce NBA All Star qu’était Kemba Walker (cinq triples manqués) ou du toujours irrésistible Mike James. Diallo, qui est arrivé lancé, était deux sur 12 en lancers. Tout est horrible, contrairement aux chiffres blancs. C’est une défaite qui a fait ressortir les couleurs, malgré la composition du dernier acte (le partiel visiteur a atteint 4-19), pour que le Real Madrid égalise le deuxième meilleur départ historique de l’Euroligue (8-0, comme lors de la 2018-2019). Il ne sait pas ce que c’est que de perdre dans la plus haute compétition continentale depuis le 27 avril, ce duel de souvenir malheureux, celui des Tangany contre le Partizan lors du deuxième match des éliminatoires.




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