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Essai MG 4, fiche technique, avis et dimensions 64 kWh Luxe

Essai MG 4, fiche technique, avis et dimensions 64 kWh Luxe

Chinois en vente

Cette MG4 est une moyenne actuelle née sur une plate-forme dédiée aux voitures électriques, qui comprend une batterie à plat dans le plancher et un moteur arrière : la même “recette” que Volkswagen a choisie pour la plate-forme MEB, utilisée pour des voitures telles que l’ID.3 et le Cupra Born (les rivaux les plus proches en termes de fonctionnalités et coûtant environ 10% de plus). La marque britannique, dans l’orbite du chinois Saic depuis 2007, ambitionne de se développer rapidement en Italie, atteignant 20 000 immatriculations en 2023 : elle compte aujourd’hui 55 concessionnaires avec 100 points de vente, ce dernier devant passer à 120 dans les prochains mois. .

Deux versions Comme beaucoup d’autres voitures construites en Chine, l’atout de la MG4 c’est le prix : ça coûte comme une petite voiture avec l’électricité mais c’est plus spacieux et puissant et ça a une plus grande autonomie. Il existe deux versions : avec 170 ch, batterie de 51 kWh (50,8 utilisables) et 350 km d’autonomie officiel ou avec 204 CV, 64 kWh (61,7 réels) et 450 km homologués (435 pour le Luxe de l’épreuve). Avec l’accumulateur plus gros, on ajoute de meilleures performances de charge : la voiture accepte 11 kW au lieu de 6,6 en courant alternatif (celui de la maison et des colonnes les plus courantes) et 135 kW au lieu de 117 en utilisant le continu des colonnes ultra-rapides. Avec ce dernier, selon l’entreprise, on passe de 5 à 80 % de charge en 40 minutes environ avec les deux versions de MG4.

Optionnel? non, merci

Tous les MG4 ils sont équipés de série d’une conduite semi-autonome de niveau 2 (régulateur de vitesse adaptatif et centrage de voie) et d’un freinage d’urgence automatique. Mais seulement le plus cher Le luxe du test (35 990 €) dispose d’une surveillance des angles morts, d’un assistant de changement de voie, de caméras 360 ° en plus des capteurs de distance arrière, d’un rétroviseur intérieur auto-éblouissant, d’un volant et d’un navigateur chauffants. En plus de la signalisation (avec freinage possible) des véhicules arrivant de travers lorsque vous sortez en sens inverse d’un parking. Dans l’ensemble, la prime de 2 000 euros par rapport au Comfort avec la même mécanique est justifiée.

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Garanti 7 ans

La Standard “de base”, avec une batterie de 51 kWh, à partir de 29 990 euros et dispose plutôt d’un équipement plus clairsemé : volant en plastique au lieu de recouvert de cuir, roues en acier de 16″ au lieu de 17″ en alliage et plus encore. Aucun MG4, en revanche, il comporte des options : il simplifie le choix au détriment de la personnalisation, qui se limite aux coloris (650 € pour les métallisés). Par contre, la garantie est longue : 7 ans ou 150 000 km. Cependant, il faut dire que sur les autres voitures à batterie la partie électrique est couverte pendant 8 ans, voire 10…

Des économies claires

à l’intérieur de MG4 il est aéré, même pour ceux qui sont assis sur le canapé. La volonté de proposer cette électrique à un prix agressif a cependant entraîné des économies évidentes, non présentes sur d’autres MG (comme la EHS, qui le test, et le HS, qui se vantent de finitions traitées même par les normes européennes). Tant plastiques rigidesbien que le tableau de bord et une partie des panneaux de porte soient légèrement enduits, ils sont même utilisés pour la garniture des montants. Et même ceux utilisés pour certaines commandes ne donnent pas une grande idée de la qualité. De plus, les poignées au plafond, les seuils de porte et, derrière, les feux, l’accoudoir central et les bouches d’aération manquent.

Trop de toucher

Pratiquez le grand la roue centrale, en position relevée et à proximité de la plaque de charge des téléphones portables, à utiliser pour sélectionner la marche avant ou la marche arrière. Au centre du tableau de bord se trouve l’écran de 10,3 pouces : il est réactif mais pas toujours intuitif et dispose de petits textes et touches virtuels, qui peuvent distraire pendant la conduite. Le “climat” est également contrôlé depuis cet écran, qui n’est qu’une seule zone : le menu relatif doit être appelé à chaque fois en faisant glisser le doigt de haut en bas, masquant les autres informations. Standard Android Auto et Apple CarPlay qui ne fonctionnent cependant qu’avec le câble. Seulement le MG4 Le luxe dispose d’un navigateur, qui affiche les indications dans le petit tableau de bord bien lisible mais il n’est qu’en anglais (ainsi que les commandes vocales).

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Large mais irrégulier

Il tronc il a une capacité décente et une forme irrégulière : les passages de roue sont saillants et la largeur intérieure est réduite à 95 cm. Sur le MG4 Le luxe est également présent un panneau surélevé (amovible) qui permet d’avoir le dessus au ras des dossiers du canapé lorsque celui-ci est abaissé mais qui réduit les litres utilisables de 363 à 350. Enfin, la partie interne supérieure du hayon, laissée en métal nu, fait un peu “cheap”.

Essai très court

On pourrait y conduire MG4 seulement pour quelques kilomètres, nous reportons donc les jugements définitifs à un futur test avec des mesures instrumentales. Comme on peut s’y attendre d’une électrique, dans tous les modes de conduite (qui sont également sélectionnés à partir d’un sous-menu sur l’écran central), la réponse est immédiate et vive. Valable est l’absorption des déconnexions (également grâce aux pneus à épaules hautes) et l’insonorisation. Cependant, il faut dire que sur les bosses les plus marquées, la voiture ne donne pas cette sensation de “compacité” que les meilleurs rivaux ont. La direction est calibrée pour être légère, même en mode de conduite Sport : grâce également à la propulsion arrière (sans arbres d’essieu, les roues avant braquent davantage), les manœuvres deviennent un « jeu ».

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Ici, il faut l’améliorer

Dans un court tronçon sur la rocade, nous avons également essayé le guide semi-autonome de niveau 2 MG4: pour maintenir la voiture au centre de la voie, l’électronique nécessite des micro-corrections continues de la direction qui réduisent le confort. Et, en fixant au minimum la distance à maintenir avec les véhicules qui nous précèdent, on tombe vraiment trop « sous ». Enfin, la modulation des freins à basse vitesse devrait être améliorée : la transition entre le freinage récupératif et l’action des étriers et des disques est perceptible.

Le freinage récupératif peut être réglé sur trois niveaux, mais aucun n’atteint la fonction « une pédale », c’est-à-dire lorsque le frein moteur (qui recharge la batterie lors des ralentissements) est si intense qu’il arrête la voiture. A cela s’ajoute le niveau « adaptatif » : le MG4 il décide lui-même de « défiler » comme s’il était au point mort ou de ralentir en fonction de la présence ou de l’absence de voitures devant nous, détectées par le radar avant.

Selon nous

AVANTAGES
> Donation. Celui de série est riche, notamment pour la sécurité.
> garantie. C’est vraiment long : 7 ans ou 150 000 km.
> Prezzo. Compte tenu également de ce qu’il offre en standard, être électrique ne coûte pas trop cher.

DÉFAUTS
> Commandes tactilesou. Ils sont trop nombreux (climatisation, modes de conduite, etc.) et entraînent une distraction pendant la conduite.
> Détails économiques. Le navigateur et les commandes vocales sont uniquement en anglais, il manque les poignées au plafond et, derrière, les bouches d’aération et les plafonniers. Le “climat” n’est que mono-zone et certains plastiques bon marché.
> Réglage. Les aides à la conduite avancées devraient être mieux calibrées. Les freins à basse vitesse sont peu modulables.

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