Les crises se succèdent à un rythme effréné et l’incertitude grandit au sein de la population. La reprise après la chute du Union soviétique a conduit à une importante inflation (hausse générale des prix), mais depuis l’incursion de La Russie en Ukraine la situation est pire que jamais, surtout dans le secteur énergétique évaluer Des prix souffler complètement la casserole. Ceci est bien sûr dû à la guerre en tant que tel, mais aussi au sanctions occidentales imposée à la Russie : un bras de fer qui nuit principalement aux citoyens. Ils se demandent à juste titre ce qu’il y aura dans leurs assiettes dans les mois à venir.
Dans ce contexte, qui bien sûr sème la panique dans énormément de familles belges, Radio DH professeur Damien Erst de l’Université de Liège (ULiège), spécialiste reconnu de l’énergie, a été interviewé. Le journaliste de service voulait savoir si Belgique l’hiver prochain avec enregistrements énergétiques souffrira, mais aussi quelles en seront les conséquences pour prix de l’énergie sera. Ernst, sérieux comme il est, a répondu honnêtement…
Une situation catastrophique
Le professeur n’a pas caché que la situation actuelle est catastrophique. Il suppose que nous ne sommes pas avec pannes de courant devrons faire face, ni que nous gaz de électricité va manquer, mais il prévient que le Des prix continuera à augmenter. 80% du gaz annuel consommé se situe simplement entre octobre et mars, donc pendant la l’hiver“consommé”.
Donc selon Ernst nous ne sommes pas encore au coeur de cette crise de l’énergie arrivé, même si le Tarifs déjà doublé voire triplé. Même si les approvisionnements ne sont pas coupés, nous devrons tous payer (beaucoup) plus cher. Après tout, dans quelques mois, la demande de gaz et de combustibles fossiles sera beaucoup plus importante qu’aujourd’hui, ce qui rend une baisse des prix pratiquement possible. Au contraire. Il souligne également que le prix du gaz entre le début de la crise-covid et a augmenté aujourd’hui de 700 %, plus précisément de 16 euros par MWh à 130 euros.
Confirmer les modèles allemands
Cette sombre prévision rejoint plusieurs modèles allemands. Le moment critique de la crise devrait être atteint à la mi-février 2023, alors que l’Allemagne réserves de gaz sera alors complètement sec. Étant donné qu’une partie de l’électricité est produite à partir de gaz, il est facile de comprendre pourquoi l’Allemagne est désormais en pleine centrales au charbon laisser courir, tout comme les Pays-Bas. Les électeurs de Groen n’aimeront pas entendre cela, mais Ernst parle d'”une décision très sage”.
Ernst prédit également que cette situation fera grimper les prix à tel point que beaucoup de Les Belges ne pourront plus payer leurs factures. Subventions de l’État n’aiderait pas à cet égard, compte tenu de la pénurie de combustibles fossiles.
consomme moins
Ernst prétend que nous n’avons qu’une chose à faire, c’est nous consommation d’énergie de manière drastique (comme le recommandent les experts du groupe d’étude mandaté par le gouvernement fédéralqui vient de présenter ses conclusions et une série de mesures a proposé). Cependant, l’homme est surpris que le gouvernement ne prend pas les devants dans ce dossier et ne parvient pas à communiquer clairement avec la population.
Bien sûr le Pays du G7 faire pression sur la Russie au sujet de l’Ukraine. Les pays les plus riches du monde veulent un plafond sur le prix des achats d’énergie, mais un accord semble peu probable car il nécessite l’accord de toutes les parties prenantes. Or, on sait que la Russie contourne certaines sanctions en réenregistrant par exemple ses supertankers en Inde…