En association avec
Diffusion Flevoland
Nouvelles de l’ONS•
Les bateaux de la flotte de pêche d’Urk doivent collecter des informations en mer et les transmettre au gouvernement et aux chercheurs. La coopérative de pêche d’Urk le préconise. Ils proposent qu’à l’avenir, les bateaux soient équipés de toutes sortes de capteurs, afin qu’ils puissent tirer plus de la mer que du poisson.
“Le modèle de revenus ne se limite plus à la pêche”, déclare Albert Hartman de la coopérative Diffusion Flevoland. “Les prix élevés du carburant rendent difficile la rentabilité. Nous avons également récemment perdu 23 des 135 coupeurs au total en raison d’un plan de restructuration du gouvernement. Cela nous a fait réfléchir.”
Les navires pourraient avoir une boîte noire à bord qui détecte le sol et l’eau pour des raisons de sécurité.
«La nouvelle pêche», comme on appelle cette approche, signifie que les pêcheurs travailleront avec le gouvernement, les chercheurs et l’éducation. Les nouvelles technologies à bord des navires devraient extraire de la mer des informations susceptibles d’être utiles à d’autres.
“Par exemple, nous aimerions coopérer avec le ministère de la Défense. Les navires auraient un boîte noire à bord qui détectent le sol et l’eau pour la sécurité. Cela peut être intéressant, surtout avec la guerre en Ukraine.”
Hartman expliquera les plans au ministère de la Défense dans un mois.
La Belgique est en avance
La nouvelle voie que veut suivre la Visserij Coöperatie Urk est issue de l’approche belge. “En Belgique, ils sont déjà un peu plus loin”, déclare Hartman. “Une quarantaine de navires y sont déjà équipés de capteurs.”
La flotte Urk commencera ce mois-ci avec la construction d’un nouveau cutter, qui contiendra toutes sortes de technologies.
2023-08-04 14:04:12
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