:watermark(https://f.pmo.ee//logos/4132/d583334e07b643b158b745b655f05032.png,-2p,-2p,0,18,none)/nginx/o/2022/11/01/14932789t1hb0b1.jpg?fit=%2C&ssl=1)
Le public cible des “visas de résidence secondaire” sont les étrangers et les anciens citoyens indonésiens qui souhaitent y rester longtemps et apporter une contribution positive à l’économie du pays. Les titulaires de visa peuvent rester dans le pays pendant cinq ou 10 ans et participer à diverses activités telles que l’investissement, selon le site Internet de la Direction générale de l’immigration indonésienne.
Les candidats doivent également être titulaires d’un passeport valable au moins 36 mois et joindre un CV à la candidature.
La politique entre en vigueur le 24 décembre.
Les médias locaux ont rapporté que les visas de “résidence secondaire” devraient attirer les touristes riches plus âgés ou les visiteurs avec des capitaux ou des affaires internationales, mais pourraient également être une option pour les nomades numériques disposant de grosses économies.
En septembre, les responsables indonésiens du tourisme ont annoncé un plan distinct qui permettrait aux nomades numériques de travailler dans le pays jusqu’à six mois, écrit l’agence de presse Reuters.
La destination insulaire populaire de Bali, qui dépend fortement du tourisme pour son économie, a rouvert aux visiteurs en février après la levée des restrictions de Covid-19. Plus de 1,7 million de touristes sont arrivés en Indonésie entre janvier et août, selon un rapport du gouvernement.
Plus d’une douzaine d’autres pays ont lancé des initiatives similaires pour attirer de nouveaux travailleurs à distance, dont le Portugal, la ville brésilienne de Rio de Janeiro et le Costa Rica.
