Des revendications qui mettent Neuquén en échec

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Les réclamations des professionnels de toutes les régions de la province en raison du manque de ressources humaines et intrants ont été faites innombrable et rendre visible un crise qui met en péril le système de santé à Neuquén. Professionnels de la santé Ils ont porté leurs revendications dans les rues de Cutral Co, Plottier, Neuquén et plus assurant un «vidange de la santé publique.

Le Syndicat des Professionnels de la Santé Publique de Neuquén (Siprosapune) est le syndicat qui réclame inlassablement la situations que traversent les hôpitaux. Le secrétaire aux affaires syndicales de Siprosapune et biochimiste, Fabricio Chiappero listé tous les domaines qui connaissent un déficit professionnell : Ce sont des médecins généralistes, des cliniciens, des pédiatres, des obstétriciens, des psychiatres, des psychologues, des biochimistes, des pharmaciens, des orthophonistes, des oto-rhino-laryngologistes, des cardiologues, des nutritionnistes, des traumatologues, des dentistes, des chirurgiens, des anesthésistes et plus encore.

“Cela se traduit par le manque d’offre de cliniques de toutes spécialités, par la diminution des rotations de services intermédiaires, par des listes pour des chirurgies ou des études complexes qui dépassent un an d’attente, par le manque d’accès aux soins ou à la rééducation”, a-t-il expliqué. . .

Pour le syndicat la situation touche directement la population, «Il est très difficile de fournir un service de santé de qualité en fonction des besoins de la population de Neuquén », a déclaré Chiappero. A cela il ajouta que il est difficile de recruter des professionnels ayant une formation post-universitaire “à cause des mauvaises conditions de travail et des bas salaires.” Dans ce sens on a appris que l’Université nationale de Comahue avait ouvert 60 résidences médicales à Neuquén et Río Negro, toutes dans la sphère privée.

Du syndicat, ils ont assuré que des professionnels sans spécialisation ou peu formés sont intégrés, “Ce qui se traduit par une détérioration de la qualité des soins prodigués aux patients”, a déclaré Chiappero.

A Neuquén, la situation est critique, où les travailleurs des deux L’hôpital Heller et l’hôpital Castro Rendón mettent en garde contre des lacunes majeures.

Dans le cas de la capitale de Neuquén, le syndicat des travailleurs de la santé réclame la Dédicace exclusive discutée par des professionnels, recatégorisations et fournitures et médicaments. De plus, comme il y a plusieurs années, la demande de droit de la carrière. La proposition qui a été mise de côté il y a des années et qui était en cours d’examen à l’Assemblée législative. cherchait réglementer les conditions de travail du groupe professionnel de la santé, en dehors de la convention collective de travail.

La situation un el Heller a été exposé à plusieurs reprises par la médecin et future adjointe Luciana Ortiz Luna, agent hospitalier et service SIEN.

L’an dernier, l’hôpital a même lancé une petite annonce pour aller chercher six médecins. Ce post une fois de plus rendu visible la polémique due au manque de professionnels dans le système de santé publique, qui a été mis en évidence par la pandémie et, des organisations, ils assurent qu’il n’a pas été résolu.

Ortiz Luna a publié une vidéo où il raconte les heures qu’il lui a fallu pour obtenir un scanner d’urgence. « L’impossibilité de réaliser une étude d’urgence très complexe en 2023 c’est impensable, on pratique la médecine et les soins infirmiers comme il y a 50 ans », a-t-il assuré.

Siprospune a assuré que “la situation est chaotique”. Ils ont rapporté que Plus d’une centaine de travailleurs sans spécialité de médecine générale sont portés disparus dans la province et que la situation critique s’aggrave avec manque de médicaments, dénoncé par ce syndicat, à l’hôpital Castro Rendón.

“La situation actuelle est assez critique. Il déficit d’intrants dont nous souffrons depuis longtemps, mais nous avons atteint un point très critique où il n’y a pas de réactifs ou pour faire des déterminations de base aux patients que des suivis doivent être faits pour les maladies rénales, le diabète ou autres », a déclaré Mariana Franco.

Mais ce n’est pas le seul secteur de l’hôpital touché par le manque d’approvisionnement, la même situation a été signalée à la pharmacie, où ils assurent qu’il y a aussi un manque de médicaments de base. L’inconfort du personnel de santé de l’hôpital augmente devant le Absence de réponse du gouvernement provincial.

Une autre des réclamations à l’hôpital provenait du ouvriers de cuisine, qui a souligné qu’en mai de l’année dernière, 32 millions de dollars avaient été payés pour réparer le sol, mais peu de temps après, il a commencé à “se fissurer et à s’écailler, les grilles de vidange à se déplacer, les robinets à se casser”.

Plottier dénonce le manque de médecins

Siprosapune et des voisins auto-convoqués qui Ils ont dénoncé une “vidange” à l’hôpital Plotter. Le directeur de l’établissement de santé, Francisco Facci, a reconnu que «il y a une pénurie de médecins ». Il a dit que la pénurie de professionnels est en clinique médicale et médecine générale.

Il a ajouté que L’équipe de médecine générale compte 22 professionnels. “Il y a un scénario maximum, qui est de travailler avec un état de confort, c’est-à-dire de pouvoir assurer toutes les prestations liées au secteur, y compris les centres de santé, et cela inclut une couverture (externe) de garde avec quatre professionnels par jour et une rotation de médecins pour la consultation ambulatoire dans les hôpitaux et les centres de santé. Aujourd’hui cet état de confort, Nous sommes loin d’y parvenir”Facci décrit.

Il a dit que l’état de minimum est maintenu, et qu’il est surveillé de près « parce qu’ils commencent à certificats médicaux émergents, licences programmées que vous devez les utiliser et d’autres problèmes qui font que l’attention commence à souffrir peu ou dans un temps moyen ».

Il a également ajouté qu’il existe d’autres variables qui affectent l’arrivée des médecins “comme le coût de la vie dans une ville de Patagonie”.

Depuis le conseil délibérant de Plottier le président de la législature, Marcos Koopmann, a été invité à exhorter le ministère de la santé à publier un rapport sur la mesures prises pour résoudre la situation de l’hôpital.

Dans le communiqué, il précise qu’une étude réalisée en 2018 a montré que pour une population de
30 mille habitants ont besoin de 35 médecins généralistes pour couvrir les tâches de garde et de soins ambulatoires.

Actuellement il y a 25 médecins généralistes pour une population d’environ 80 000 habitants, et dont seulement 17 faire des gardes. Il convient également de noter qu’un médecin sur trois sur le campus est plus de 50 ans et 60 % ont plus de 45 ans. De plus, l’année dernière, des mesures de force ont été prises pour cette raison même, réussissant l’admission de 7 médecins, cependant, à ce jour, il y a eu 5 démissions.

La situation dans la région pétrolière

Le manque de médecins a également été dénoncé à Cutral Co et Plaza Huincul, également à Chos Malal et Zapala. Le chef de la pédiatrie de l’hôpital de complexité moyenne de Cutral Co et Plaza Huincul, Daniel Mottier, a indiqué qu’aujourd’hui les travailleurs de la région sont la moitié de ce qu’ils devraient être. “J’ai présenté un projet il y a plus de deux ans pour étendre les services et passer de 8 à 14 et ils ne nous ont jamais donné de réponse”, a-t-il rapporté.

La crise s’est aggravée car Depuis plus de deux ans, il y a des professionnels qui ne travaillent pas pour des raisons de santé ou tout simplement parti. “Nous ne sommes que six pédiatres travaillant pour toute la zone de santé, La ressource humaine n’a jamais été augmentée, nous étions toujours les mêmes », a-t-il déclaré.

Il a indiqué qu’ils traversent une situation de crise car l’équipe est fatiguée physiquement et mentalement. “Ce que nous garantissons à la communauté aujourd’hui, ce sont des gardes actifs et passifs dans la mesure du possible”, a-t-il rapporté. “On s’occupe des urgences et des urgences, des renvois, des accouchements, des césariennes, mais malheureusement tout ce qui est prévu on doit essayer de le mettre de côté”, a-t-il déploré.

Chos Malal traverse une situation similaire dans laquelle l’hôpital Docteur Gregorio Álvarez est atteindre la limite en raison du manque de ressources professionnelles. De l’hôpital, ils ont communiqué que la moitié des professionnels de l’étage sont portés disparus, la plupart des régions ont la moitié ou moins de celles qui s’appliquent.

Les éléphants soutiennent la lutte pour le système de santé

Walter Erdozain, l’un des médecins “éléphants” et une référence dans la lutte historique pour la Santé à Neuquén, a parlé de la situation à Neuquén et a indiqué que “Le manque de médecins se répète dans toute la province.” Se les gardes sont garantis “pour une matière obligatoire», mais la demande dans les cliniques et les soins primaires n’est pas couverte.

Il a expliqué qu’à Rincón de los Sauces, ils ont “un territoire de terrain très étendu” et ne peuvent pas s’occuper des résidents qui Ils ont besoin de services de santé.

“L’éléphant” a été candidat à la députation nationale en 2021 et aux provinciales lors des dernières élections. Il s’est démarqué car il a obtenu plus de voix que le MPN lors de l’élection à Rincón de los Sauces avec Libres del Sur, le parti de Jesús Escobar. C’est ainsi que le futur gouverneur, Rolando Figueroa pour le parti communautaire, l’a invité à participer à son équipe.

En ce sens, les protagonistes de l’attaque des éléphants ont assuré que le combat ne fait pas partie de la politique intérieure. «Dans nos hôpitaux à travers la province, nous continuons à nous battre, de l’hétérogénéité qui nous caractérise, puisque nous participons à différentes propositions politiques tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du syndicat », ont-ils déclaré.

En outre, ils ont souligné qu'”en aucun cas nous ne soutenons et ne pouvons contenir le mouvement des éléphants dans une coalition de Rolando Figueroa, continuité du MPN et avec des politiques de vidage de la santé publique et des politiques sociales ».

La demande de loi sur la carrière professionnelle

la droit de la carrière. La proposition qui a été mise de côté il y a des années et qui était en cours d’examen à l’Assemblée législative. cherchait réglementer les conditions de travail du groupe professionnel de la santé, en dehors de la convention collective de travail.

En juin, cela fera deux ans que le parti au pouvoir a promis de débattre de la loi sur les carrières en santé à l’Assemblée législative pour le secteur. Le conflit avec le personnel des hôpitaux et des centres de santé se poursuit sans solution.

Le syndicat assure que le non-traitement de la loi C’est une des raisons de la crise que traverse le système de santé . “Las les conditions de travail et de rémunération des professionnels se sont considérablement détériorées depuis la sanction de la convention collective de travail de santé, car Le travail ordinaire a été dévalorisé et le travail extraordinaire a été encouragé ou par des gardiens », a expliqué le secrétaire aux affaires syndicales de SiProSaPuNe et biochimiste, Fabricio Chiappero.

le secrétaire syndical a affirmé que le système de santé devrait être basé sur les soins aux patients dans les cliniques routine lorsque « les patients sont soignés par gardesans possibilité de soins ou de suivi appropriés.

«Il faut promulguer la loi carrière professionnelle pour améliorer les conditions de travail et les salaires des professionnels et ainsi être en mesure de récupérer les ressources humaines perdues au cours des 15 dernières années ou plus », a déclaré Chiappero. “C’est le seul moyen pour que le système de santé puisse récupérer et garantir le droit de tous les citoyens à accéder à un système de santé gratuit, universel et de qualité”, a-t-il conclu.