Un deuxième vaccin de rappel de Pfizer ou Moderna est recommandé pour les personnes âgées de 50 à 64 ans.
Cela fait partie d’un certain nombre de nouvelles recommandations concernant le programme de vaccination irlandais contre le COVID-19, qui ont été acceptées par le ministre de la Santé, Stephen Donnelly.
Les recommandations ont été faites par le Comité consultatif national d’immunisation (NIAC) au médecin-chef par intérim (CMO), qui a approuvé ces recommandations.
Le NIAC a recommandé :
Un premier vaccin rappel d’ARNm pour les 5-11 ans immunodéprimés
Un deuxième rappel d’ARNm pour les 50-64 ans
Un deuxième vaccin de rappel d’ARNm pour les personnes âgées de 12 à 49 ans qui ont une condition médicale sous-jacente ou qui résident dans des établissements de soins de longue durée
Un deuxième vaccin de rappel d’ARNm pour les femmes enceintes à 16 semaines ou plus qui n’ont pas déjà reçu de vaccin de rappel au cours de leur grossesse actuelle
Un deuxième vaccin de rappel d’ARNm pour les travailleurs de la santé
Un troisième vaccin de rappel d’ARNm pour les personnes âgées de 65 ans et plus et celles âgées de 12 à 64 ans immunodéprimées
Le NIAC a également recommandé que les vaccins COVID-19 puissent être administrés en même temps que les vaccins contre la grippe saisonnière. Les doses de rappel doivent être administrées quatre mois après une précédente dose de vaccin COVID-19 ou une infection naturelle antérieure. Il a été démontré qu’une dose de rappel après une infection offre une protection supplémentaire. Il est toujours recommandé aux personnes de suivre et de terminer leur primovaccination et leur(s) injection(s) de rappel si elles ne l’ont pas déjà fait.
Le ministre Donnelly a déclaré : « Je salue la mise à jour d’aujourd’hui du programme de vaccination irlandais. Nous bénéficions d’une protection très élevée au sein de la population grâce à notre programme de vaccination réussi. Le programme de vaccination d’automne nous permettra de continuer à protéger les plus vulnérables de nos communautés.
«Les preuves suggèrent qu’une deuxième dose de rappel pourrait réduire les taux d’infection, ce qui profiterait aux travailleurs de la santé et aiderait à soutenir le système de santé à l’approche des mois d’hiver.
“Le but principal de la vaccination est de prévenir les maladies graves, l’hospitalisation et la mort. L’immunité hybride résultant de l’infection et de la vaccination de rappel confère une protection plus forte que l’infection seule. En tant que tel, j’exhorte toute personne qui n’a pas encore reçu son traitement primaire ou son vaccin de rappel à le faire dès que possible. que possible.
Le directeur marketing par intérim, le professeur Breda Smyth, a déclaré: «Il existe des preuves claires que la variante Omicron a été moins grave que les variantes précédentes en raison de la forte utilisation des vaccins. Bien que nous ayons assisté à une récente augmentation des infections, cela ne s’est heureusement pas traduit par la même pression sur nos hôpitaux et les personnes gravement malades. Les vaccins COVID-19 ont été remarquablement efficaces à cet égard. »
Le ministère de la Santé et le HSE vont maintenant travailler à opérationnaliser ces mises à jour.
