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D’autres mesures gouvernementales annoncées : le niveau des eaux souterraines sera relevé pour lutter contre les émissions de CO2 | Politique

D’autres mesures gouvernementales annoncées : le niveau des eaux souterraines sera relevé pour lutter contre les émissions de CO2 |  Politique

Le cabinet veut élever le niveau des eaux souterraines à travers le pays dans le but d’améliorer sa qualité. C’est peut-être une mauvaise nouvelle pour les agriculteurs, car certains pâturages deviendront beaucoup plus gorgés d’eau.

C’est l’un des plans qui seront discutés en Conseil des ministres vendredi, confirment des sources sur ce site après un article de Le télégraphe. Il fait partie des plans de réduction des émissions d’azote et de CO2.

Prévenir l’affaissement

En collaboration avec les provinces et les offices des eaux, un plan est en cours d’élaboration pour chaque zone. En élevant le niveau de la nappe phréatique, les zones tourbeuses pourriront moins et émettront donc moins de CO2. Un niveau plus élevé empêche également le sol, et donc les maisons, de s’affaisser.

Mais cela rend également le sol plus gorgé d’eau, ce qui signifie que les agriculteurs sont moins en mesure de travailler leurs terres avec des tracteurs. Les vaches ne marchent pas bien dessus non plus.

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Le médiateur de l’azote Johan Remkes à gauche et les ministres Christianne van der Wal (Nature et azote) et Piet Adema (Agriculture) à droite. ©AP

Une autre partie de ces plans a déjà été divulguée sur ce site hier : le cabinet présentera vendredi une offre aux agriculteurs et autres « taxeurs de pointe » qui souhaitent être rachetés. Si un agriculteur s’arrête, il peut jusqu’à 120 pour cent de la valeur de sa ferme. Le régime doit prendre effet le 1er avril 2023 et être ouvert pendant environ un an et demi.

Outre ce dispositif, les entreprises peuvent également utiliser des innovations pour limiter les émissions d’azote. Les agriculteurs peuvent également travailler de manière plus durable, par exemple en n’élevant plus de bétail mais en passant à l’agriculture arable. La délocalisation est également une option, ce qui éloignera les entreprises des zones naturelles sensibles à l’azote.

Le régime est volontaire, mais si les agriculteurs ne coopèrent pas, des exigences environnementales considérablement plus strictes menacent.

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