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Corkman affirme que Ryanair l’a interdit à tort après avoir été accusé de comportement perturbateur

Corkman affirme que Ryanair l’a interdit à tort après avoir été accusé de comportement perturbateur

Un métreur a affirmé devant la Haute Cour qu’il avait été diffamé par Ryanair et qu’on lui avait interdit à tort de voler avec Ryanair.

L’action a été intentée par Eoin Michael Cahill, un homme de Cork, qui affirme que la compagnie aérienne l’a accusé à tort d’avoir prétendument eu un comportement perturbateur à une date à laquelle il n’a ni voyagé sur un vol Ryanair ni été présent à l’aéroport de Dublin.

M. Cahill affirme qu’il travaille actuellement avec le Jones Engineering Group sur un projet dans la ville danoise de Copenhague. Il affirme que les vols qu’il prend dans le cadre de son travail entre le Danemark et l’Irlande sont achetés par son employeur.

Il affirme qu’il avait été convenu qu’il volerait avec Ryanair de Dublin à Copenhague le 2 janvier 2024, mais qu’après avoir prolongé son congé, il n’a pas voyagé à cette date. Le lendemain, il affirme avoir été diffamé dans un email envoyé à son employeur par le service client de Ryanair.

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Il dit qu’il contient une allégation fausse et intenable selon laquelle il aurait été « perturbateur » lors de son voyage à travers l’aéroport de Dublin et qu’il lui aurait été interdit de voler à nouveau avec Ryanair.

Il affirme que si la communication avec son employeur n’est pas corrigée, cette allégation aura des conséquences désastreuses sur sa réputation professionnelle, d’autant plus qu’il doit se rendre au Danemark dans le cadre de son travail.

Il craint en outre que la communication prétendument diffamatoire envoyée à son employeur ait pu être transmise à d’autres parties.

Par l’intermédiaire de son avocat, CW Ashe and Company, M. Cahill a demandé des détails sur le comportement perturbateur présumé auquel la compagnie aérienne a fait référence. De tels détails ne lui ont pas été fournis, affirme-t-on.

Il a également demandé à la compagnie aérienne de rectifier son dossier auprès de son employeur et de lever l’interdiction de voyager qu’elle lui a imposée, ce qu’elle n’a pas fait, selon lui.

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La compagnie aérienne avait initialement informé M. Cahill, récemment diplômé de l’Université technique de Munster, qu’elle maintenait sa décision de lui interdire de voyager avec Ryanair.

Cependant, le tribunal a appris que, dans une correspondance ultérieure, les avocats de Ryanair avaient demandé un délai raisonnable pour pouvoir mener une enquête approfondie sur les allégations au nom de la compagnie aérienne.

Les avocats de M. Cahill ont déclaré que la compagnie aérienne avait eu suffisamment de temps pour répondre à ses plaintes et qu’il avait engagé une procédure devant la Haute Cour contre Ryanair DAC et Ryanair Holdings PLC.

Commandes recherchées

Dans son action, M. Cahill, domicilié à Killarney Road, Macroom, Co Cork, demande des dommages-intérêts, y compris des dommages-intérêts majorés pour la diffamation alléguée.

Il souhaite que le tribunal rende diverses ordonnances interdisant aux accusés de publier davantage de documents prétendument diffamatoires, ainsi qu’une ordonnance de correction ordonnant à la compagnie aérienne de publier une correction des déclarations prétendument diffamatoires.

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Il demande en outre diverses injonctions interdisant aux défendeurs de publier d’autres déclarations prétendument diffamatoires, qui font l’objet de la procédure, ainsi qu’une ordonnance interdisant à Ryanair de lui interdire de voyager avec la compagnie aérienne en attendant le procès de l’action.

L’affaire a été portée devant le juge Mark Sanfey mardi, qui, sur une base ex parte, a autorisé les avocats de M. Cahill à signifier un bref préavis de la procédure d’injonction aux défendeurs.

Le juge s’est dit prêt à rendre l’affaire renvoyée, mais a exprimé certaines inquiétudes quant à la capacité du tribunal à accorder les injonctions demandées. Le juge demande si un tribunal peut contraindre deux parties à ce stade de la procédure à conclure une relation contractuelle telle que celle recherchée.

L’affaire reviendra devant le tribunal début février.

2024-01-30 20:26:00
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