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Checo, Verstappen, Alonso… La grande “menace” planant sur le championnat du monde de Formule 1

Checo, Verstappen, Alonso… La grande “menace” planant sur le championnat du monde de Formule 1

2023-04-24 16:48:03

En seulement trois courses sur les 23 du Championnat du monde 2023, il y a déjà des pilotes qui savent qu’ils ne finiront pas la saison proprement, c’est-à-dire sans pénalités pour changement d’éléments moteur, la classique de toutes les années mais cette saison a été très dure au départ. du championnat

Presque chaque année presque tout le monde tombe, en effet en 2022 seuls 5 sur 20 ont survécu, mais le départ avec beaucoup de casse moteur (et attention aux boîtes de vitesses) promet des émotions fortes et plusieurs répétitions du parcours. Et encore plus si les courses de sprint ajoutent ce deuxième classement pour la course courte qui nécessite des moteurs à cent pour cent, pas comme dans les essais libres traditionnels. Autrement dit, plus le kilométrage est élevé, plus le risque est grand.

Le plus impressionnant est le cas de Charles Leclerc, qui sort d’une année 2022 “formidable” avec 16 excès dans l’un des six éléments moteurs. Dans tout ce qui est pénalisé, il a pénalisé. Le seul à faire le plein. Et cette année, il a commencé par un autre cauchemar, en utilisant le troisième standard de la deuxième course (Arabia), dont seulement deux sont autorisés par saison, avec lequel il a déjà perdu 10 places sur la grille. L’année dernière, il en a utilisé deux dans toute l’année, 23 courses ; en cela ils n’ont pas duré trois. S’il change à nouveau, ce qu’il ne devrait pas, mais il pourrait, il reculera de cinq positions, comme avec le reste des éléments.

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Il n’est pas le seul, mais la peste ravage la quasi-totalité du plateau, car Alpine, le moteur Renault, qui n’a qu’Alpine comme constructeur, est pour l’instant épargné par les pannes, comme Hamilton, Verstappen et Alonso, qui roulent avec leur croisons les doigts et dans les paramètres. Étant la deuxième année du moteur, toujours gelé, on s’attendait à ce que la fiabilité s’améliore, en particulier dans le cas de Ferrari. Une mise à jour logicielle a à peine été accordée aux quatre moteurs, et les ajustements déjà classiques pour améliorer la fiabilité et non les performances. Mais la vie continue tout de même et ils vérifient déjà la perte de puissance due à l’utilisation de l’éthanol.

Ferrari frôle déjà le drame, Honda n’y échappe pas

Non seulement Charles a déjà passé les deux unités de contrôle, mais avec Carlos, il a déjà assemblé le deuxième ICE, l’un des six éléments en lice, le moteur à combustion interne classique dont seuls trois sont autorisés par an. Et pareil, par précaution, Alfa et Haas partageant un groupe motopropulseur italien. Six coureurs déjà en train d’utiliser cet élément… en trois courses. Et pour Hulkenberg, le drame se poursuivra à Bakou puisqu’il devra piloter la troisième MGU-K après avoir terminé de justesse en Australie, 10 places sur la grille perdues au tour suivant.

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Mais pour revenir en tête, Leclerc a de la compagnie avec Checo Pérez, l’autre pilote déjà sanctionné dans cette huitième partie du championnat aguerri. Le Mexicain, qui est deuxième et a la saine intention de suivre Max Verstappen pour le titre, a dû peaufiner la troisième manche et le troisième standard, deux pénalités de dix positions qui l’ont conduit à partir de la “voie des stands”. dans la citation de Melbourne. A la première frayeur qui se répète, encore cinq positions et au revoir à rattraper Max quelle que soit la course.

Honda ne s’en sort donc pas si bien cette année, que ce soit dans l’équipe mère ou dans la seconde, puisque Nick De Vries mène également la deuxième unité de tous les éléments qui n’en autorise que trois. Un problème de démarrage est découvert en Arabie et les Japonais préfèrent tout changer, mais uniquement sur leur voiture. A Tsunoda non, et le Japonais respire car l’année dernière c’est lui qui a écopé le plus de pénalités pour être parti des trois derniers.

ni Mercedes

Les Allemands ont été un roc la saison dernière en termes de moteur. En effet, les cinq pilotes qui n’ont pas été pénalisés pour le moteur étaient Mercedes en 2022, Ricciardo (McLaren), Vettel et Stroll (Aston Martin) et Latifi et Albon (Williams). En cela, Norris a déjà dû monter un deuxième package complet sur sa McLaren (ICE, turbo, MG…) et George Russell a déjà été informé chez Mercedes que son hélice, qui a fondu alors qu’il menait le rendez-vous australien, est irrécupérable, donc à Bakou, vous serez déjà dans la zone de danger.

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Pour le moment, ses clients, dont Fernando Alonso et son Aston Martin, respirent à l’aise en sachant que c’est quelque chose d’extérieur au moteur de Russell qui a provoqué le barbecue, et ils ont juste dû libérer un deuxième échappement (huit sont autorisés ici) par précaution pour les troubles que Stroll a subis en Arabie. Vu comment est le patio, c’est pour le célébrer.

boîtes de vitesses

Et puis, en plus du moteur, il y a les boîtes de vitesses, dont quatre modifications d’éléments externes et quatre autres d’éléments internes sont autorisées et quatre pilotes ont déjà fait leurs débuts en Australie le deuxième des deux, les deux Mercedes et les deux Red Bull , ni plus ni moins. . Ici, la pénalité est de cinq places, mais si la saison est en retard, cela peut être un vrai casse-tête.



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