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Célébrations du nouvel an 2024 et naissances dans les hôpitaux de la région

Célébrations du nouvel an 2024 et naissances dans les hôpitaux de la région

Les douze coups de minuit à peine sonnés, les Arlonais ont continué à célébrer l’arrivée de la nouvelle année 2024. Dans les restaurants, en famille ou avec leurs amis dans leurs salons décorés ou, pour les plus endiablés, en dansant dans le chapiteau à côté du hall polyvalent, peu ont échappé à cette tradition bien ancrée.

Le même soir, plus tranquillement, au deuxième étage de l’hôpital Vivalia du chef-lieu, la maternité s’est réveillée. Un petit Milo est né du ventre de sa maman à 1h12 pour obtenir le titre de premier bébé né à Arlen en 2024. Une autre fête a eu lieu pour célébrer le petit champion. “Milo était prévu pour le 2 janvier,” explique Chloé Bourian, une maman comblée, qui admire avec tendresse et amour son nouveau-né, les yeux rivés sur ceux de son papa dont il est en train de faire la connaissance. “Il a décidé d’arriver un jour plus tôt et cela nous convient très bien. J’avais décidé de ne pas demander une péridurale, mais à un moment donné, la douleur était telle que je l’ai demandée. Les douleurs se sont estompées, l’arrivée de Milo fut alors un réel moment de bonheur.”

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Lilian, le papa, a le visage barré d’un grand sourire tout en fixant son bébé: “Je n’aurais voulu rater pour rien au monde cette naissance auprès de ma femme. Désormais, décembre sera dur avec la Saint-Nicolas, Noël et l’anniversaire de Milo dans la foulée. Mais cela nous convient, c’est le mois où l’on reçoit nos primes de fin d’année.”

Chloé Bourian et Lilian Libouton ne sont presque plus Luxembourgeois. “Ma femme est originaire de Bouillon, moi de Paliseul,” explique le papa aux anges. “Mais nous construisons à Bièvre qui est administrativement dans le Namurois.”

Chloé travaille à Arlon aux Chemins de Fer, Lilian est instituteur dans le primaire. “Milo est déjà une petite star, il est le premier d’une nouvelle génération. Ses deux arrière-grands-pères, son arrière-grand-mère, ses grands-parents… tout le monde voulait le voir dès aujourd’hui,” se réjouit Chloé. Restait à immortaliser l’événement sur la traditionnelle photo. Milo, charmant petit garçon bien éveillé, n’a guère apprécié de devoir quitter les bras et les caresses de son papa pour ceux de sa maman. Mais ses quelques protestations n’ont duré que quelques instants.

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Sur le coup de 18 heures ce lundi 1er janvier, il n’y avait aucune naissance du côté de l’hôpital de Libramont. Il n’y a donc pas encore de nouveau-né 2024 dans le Centre-Ardenne. “C’est vrai que c’est assez rare,” dit une infirmière. “La soirée s’annonce également calme puisque rien d’urgent n’est prévu. Nous sommes habituées à plusieurs naissances quotidiennes ici à Libramont, ce jour sans est donc particulièrement exceptionnel.”

Le personnel de la maternité de Marche-en-Famenne n’a guère eu le temps de célébrer le passage à l’an neuf. Certes, les sages-femmes ont trinqué, mais en salle d’accouchement. Pour accueillir d’abord le tout premier bébé de l’année, né dans notre province, mais dont les parents vivent dans le namurois. Les 12 coups de minuit avaient peine retenti, qu’à 00 h 03, Charles Gillet pointait le bout de sa frimousse. Pour le plus grand bonheur évidemment de ses parents, Dorothée Mars et Maxime Gillet, originaires d’Eprave (Rochefort).

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À peine un peu plus de 2 heures plus tard, à 2 h 22, un deuxième nourrisson voyait déjà le jour à la maternité de Marche. Noa Lebichot est donc le second bébé luxembourgeois de l’année 2024 et fait le bonheur de ses parents : Laura Goblet et Damien Lebichot, de Bertrix.

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