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Capital privé, meilleure année 2022 avec 23,6 milliards investis

Capital privé, meilleure année 2022 avec 23,6 milliards investis

je racheterà la place, avec 10,959 milliards d’euros et 185 opérations (5 386 millions et 159 investissements en 2021), au premier rang en montant, égal à 46 % du total, suivi de près par les opérations dans les infrastructures. Ces derniers se sont toutefois caractérisés par une hausse par rapport à l’année précédente, avec 10,695 millions d’euros (+39% contre 7,671 en 2021), répartis sur 52 transactions (45 l’année précédente, +16%).

Les opérations de expansion, en revanche, elles ont diminué tant en montant (483 millions, -44% contre 858 en 2021) qu’en nombre (46, -23% contre 60 en 2021). Enfin, le segment du redressement, dédié aux entreprises en difficulté, a conservé un rôle de niche, avec seulement 9 opérations et 249 millions d’euros investis.

La collection est stable

En 2022, les financements en private equity et capital-risque se sont élevés à 5 920 millions d’euros (dont 5 084 millions levés sur le marché), en hausse de 3 % par rapport aux 5 725 millions de l’année précédente. Il y avait 49 opérateurs qui ont mené des activités de collecte de fonds en 2022 (44 l’année précédente). En référence à l’origine géographique des fonds levés sur le marché, la composante domestique représentait 55%, tandis que le poids de l’étranger était de 45%. Au niveau des sources, 18% du financement provient des fonds de pension et des fonds de prévoyance (890 millions d’euros), suivis des assurances (13%, 678 millions) et des banques (9%, 448 millions). Alors que le secteur public et les fonds de fonds sont passés de 10,7% en 2021 à 8%. «Nous avons eu des nouvelles de nos membres et le résultat de notre enquête nous montre qu’une grande partie des financements ira cette année aux opérations de rachat (69%), de démarrage (14%) et d’infrastructure (12%)» souligne Gervasoni.

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Désinvestissements, absence d’option d’introduction en bourse

En 2022, le montant désinvesti au coût d’acquisition des titres de participation était égal à 4 398 millions d’euros, soit une augmentation de 63% par rapport aux 2 702 millions de l’année précédente. Le nombre de sorties a été de 117, +13% par rapport aux 104 en 2021. Le canal le plus utilisé pour les cessions a été la vente à d’autres opérateurs de capital investissement, avec un poids de 60% en montant (2 651 millions d’euros) et 40% sur le plan de
numéro (47). « La vente à d’autres opérateurs financiers et corporatifs est privilégiée, tandis que les introductions en bourse sont moins fréquentes » commente Gervasoni.

Le cadre international

« En 2022 au niveau international il y a eu une baisse de collecte de 22% en termes de montants et de 49% en termes d’opérateurs. Les mois nécessaires pour arriver à la clôture ont également augmenté, maintenant il faut environ 20 mois » explique Francesco Giordano, associé de Pwc, qui ajoute : « Une nouvelle contraction a été enregistrée en termes d’investissements à 6 575 transactions. La baisse a été plus marquée en Europe, avec une réduction de 53 %, contre 8 % aux États-Unis. Par ailleurs, les désinvestissements ont également connu une forte réduction égale à 47% en montant et 45% en nombre avec des introductions en bourse qui ont diminué de 73%, tandis que les ventes aux industriels de 33%».

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