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Buck Meek, critique de sa discothèque Haunted Mountain (2023)

Buck Meek, critique de sa discothèque Haunted Mountain (2023)

2023-09-28 19:24:01

Que Big Thief soit dans un état de forme enviable, avec lequel ils ne cessent de grandir, comme le démontrent les deux nouveaux singles que le groupe vient de sortir il y a quelques semaines à peine. Eh bien, pour cela et pour ce remarquable travail solo sur sa guitare -entre autres- Buck Meek.

« Montagne hantée » C’est un album qui peut être considéré comme l’album typique qu’un membre du groupe réalise pour donner libre cours à ses préoccupations personnelles, mais sans trop échapper aux paramètres stylistiques à travers lesquels il voyage avec ses compagnons. C’est-à-dire que la plupart des chansons tiendraient sur un album de Big Thief, à l’exception d’une chose qui n’est pas anodine : ce sont des chansons sur une personne qui est heureuse et ressent le besoin de crier sur les toits qu’elle est amoureuse et plein de vie. . Et cela serait quand même assez grinçant dans le recueil des voleurs, plus enclins à une certaine introspection.

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Ainsi, le troisième et meilleur album solo de Buck Meek, repose sur un optimisme vital qui imprègne les mélodies et finit par infecter l’auditeur, au point qu’il peut être abandonné avec délice dans des chansons telles que : la cow-girl et la splendeur « Haunted Mountain » qui pourraient rentrer dans le recueil de chansons Bright Eyes de Conor Oberts ; l’effervescent « Cyclades » avec cette touche délabrée de Pavement qui accroche au premier abord ou le délicieux « Didn’t Known You Then » qu’on pourrait imaginer dans la gorge du Teenage Fanclub.

Et on ne peut nier que l’une des forces de cette « Montagne Hantée » est que, si vous fermez les yeux, cela ne vous coûtera rien de revenir à une époque où les groupes susmentionnés erraient librement, avec d’autres. comme Sparklehorse, Neutral Milk Hotel, Vic Chesnutt ou Elliott Smith. Des références auxquelles il faut ajouter une autre tonalité importante et ce n’est autre que l’excellent travail de Mat Davinson et son Pedal Steel qui donne une couleur country à des chansons comme le doux « Paradise » le trottier « Where You’re Coming From » et que rappelle au passage l’origine texane de Buck Meek.

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Nous sommes donc confrontés à un de ces albums considérés comme mineurs, du fait qu’ils sont équipés comme satellites de la solide discographie du groupe mère, mais cela ne les rend pas moins agréables. Tout le contraire.



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