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Big Scenic Nowhere – The Waydown

Big Scenic Nowhere – The Waydown

2024-01-29 11:00:44

(c) Grand Scenic Nulle part

Grand panoramique nulle part Il n’a fallu que deux albums pour s’imposer comme une puissance psychique du désert – ce n’est pas étonnant, puisque les membres de Fu Manchu, Yawning Man et Mos Generator sont impliqués ici. Au lieu de s’appuyer sur des jams banals, Bob Balch, Gary Arce, Tony Reed et Bill Stinson ont un cœur audible pour les sons rock classiques et les touches prog qui faisaient déjà succès sur les deux premiers albums. « La descente » continue ce chemin avec confiance.

La chanson titre d’ouverture dit tout. Alors que « The Waydown » parcourt plus de sept minutes et demie d’ambiance et de recherche de sens, tout cela ne sert à rien. Entre une ligne de basse assez succincte, un tempo soutenu et des touches de rock rétro décontractées, se développe une puissance décontractée qui monte progressivement en flèche même à un tempo réduit. Dans l’acte final, le trio se dépasse. Les volées de batterie fébriles s’intensifient, la guitare solo suggère des excursions en solo endiablées avant qu’une overdose de lourdeur ne s’aliène et n’invite à un jam à briser le cou.

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La reprise « Sara Smile » sort de l’ordinaire avec ses vibes soul et blues et Eliot Lewis au clavier, qui a joué avec les interprètes originaux de Hall & Oates pendant deux décennies. C’est la grande apparition de Tony Reed, qui chante ici avec talent. . Avant cela, une autre beauté du jam se cache avec « Bleed On », plus proche que jamais des terres arides de divers autres groupes. Big Scenic Nowhere recherche et trouve des boucles massives, ajoute beaucoup de distorsion et se perd dans l’énorme seconde moitié, en constante escalade. Enfin, « 100 », le deuxième géant de cet album, trouve le juste milieu, ludique et pourtant pesant, plus proche du transistor chic qu’à l’accoutumée.

Un tarif familier avec une touche légèrement différente, voilà comment peut être résumé le troisième succès de Big Scenic Nowhere. Bien sûr, la reprise entre les deux sort de l’ordinaire, mais le trio de premier plan intensifie habilement ses efforts vers la lourdeur, le ressenti et le rock épais et rétro. « The Waydown » ne reste en aucun cas immobile, mais laisse plutôt le diable se reposer dans les détails. En conséquence, le nouvel album s’avère être une croissance qu’on ne veut finalement pas lâcher – encore une fois une chose vraiment complète.

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Note : 8/10

Disponible à partir du : 2 février 2024
Disponible via : Heavy Psych Sounds Records (Cargo Records)

Facebook: www.facebook.com/bigscenicnowhere

Mots clés: grand pittoresque nulle part, rock du désert, rock psychédélique, critique, stoner rock, the waydown

Catégorie: Magazine, Critiques



#Big #Scenic #Waydown
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