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Barcelone mûrit contre l’Étoile Rouge | Basket-ball | Des sports

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2024-02-03 00:01:28

Euroligue jour ouvrable 25

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Étoile rouge Belgrade contre FC Barcelone
Brizuela, lors du match contre Estrella Roja.ANDREJ CUKIC (EFE)

Il a regardé Barcelone dans le rétroviseur avant d’arriver à Belgrade et a noté avec inquiétude qu’ils n’avaient remporté que deux des neuf derniers voyages européens, soit un dérisoire 4 sur 11 au total. La vie à l’opposé de ce qui se passe habituellement aux Palaos, c’est Pouvoir (12 victoires sur 13 matches). Et le défi à Belgrade, dans l’effervescente Stark Arena de l’Étoile Rouge, un pavillon qui respire le basket, qui compte 20 000 gorges toujours prêtes à encourager son équipe ou à gifler ses rivaux, qui est un chaudron en ébullition permanente, ne semblait pas juste. .le plus suggestif pour l’équipe de Barcelone. Mais le caractère et le poignet de Brizuela ont remporté le grand match et ont remporté le match, une victoire de Barcelone qui les place au deuxième rang de l’Euroligue, ce qui montre qu’ils ont le basket-ball pour démanteler n’importe quel adversaire, même s’ils manquent de cohérence.

Il arrive en tout cas que cette Barcelone se dessine, peut-être parce qu’elle se tait aussi face aux critiques. Les avertissements de Juan Carlos Navarro aux joueurs sur ce qui peut et ne peut pas être fait – notamment l’absentéisme sur le terrain et la paresse à l’entraînement, l’abandon précoce -, ainsi que la menace de l’entraîneur que les minutes ne seront pas gagnées par les galons mais par la méritocratie, ils ont a servi de stimulant à l’équipe, qui sait qu’il ne suffit pas de maîtriser facilement ses rivaux – le dernier défi contre Virtus a été l’exception qui confirme la règle – mais que si elle rivalise, elle peut le faire avec les plus peints, même avec Madrid. C’est ce qu’il a dit dans la magnétique Stark Arena, une étape qui n’a pas découragé mais plutôt élargi le Barça, certains joueurs qui, presque dès le début de la saison, sentent qu’ils doivent se justifier face à cette phrase selon laquelle le passé a toujours été meilleur. Mais cette équipe a accumulé autant de stars – aucune comme Mirotic sur le terrain et Jasikevicius sur le banc – que de factures, une étape insoutenable pour les caisses du club. Les joueurs sont arrivés pour compléter, pour assumer un rôle secondaire en attendant une évolution ou une maturation. Cas de Joel Parra, qui demandait parfois le passage en raison de son dévouement et de son caractère ; le cas de Jabary Parker, qui a mangé le toast d’Óscar da Silva, au point qu’il est déjà titulaire et contremaître des minutes importantes ; et le cas de Darío Brizuela, qui a eu du mal à prendre de la couleur et de la forme mais qui, à chaque match qui passe, exprime son basket très plastique, avec des bombes et des lancers rapides. Et, aussi vaillant qu’il soit, il a trouvé l’écosystème parfait dans la marmite de Belgrade.

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Au départ, les coups ont été distribués des deux côtés du filet, notamment stylistiques de Parker et Vesely pour le Barça ; et plus primaire mais tout aussi efficace de Bolomboy, devenu le roi de la peinture parce qu’il était un ballon orphelin, un ballon qui restait et se transformait en panier. Mais la meilleure symphonie est venue du périmètre, avec une séquence dévastatrice de quatre triples consécutifs de Brizuela. Mémoire, mémoire, mémoire oui mémoire. Écart pour le Barça, qui est entré à la pause avec un avantage expressif (32-45) et avec le sentiment de pouvoir égaliser son rival et contrôler le rythme du duel.

Le Red Star n’était pas là, des déclenchements continus depuis la périphérie, peu de ressources pour grignoter l’exercice défensif du Barça, peut-être les dunks de Bolomboy. Le ballon, la notoriété et le bonheur que Barcelone avait, l’a réclamé et en a profité, encore une fois avec une Brizuela en éruption – un autre triple de chez lui – et avec le colosse Vesely et l’élégant Parker comme écuyers. Une version sophistiquée des Blaugrana qui a cependant été discutée avec la ligne des lancers francs. Un problème sans solution jusqu’à présent cette année. Une excuse aussi pour que le supporter du Red Star ne perde pas le rythme de ses incitations et, par conséquent, que ses joueurs n’abandonnent pas prématurément. C’est pourquoi le magicien Teodosic est allé sur la piste pour distribuer des bonbons ; C’est pour cela que Nedovic a enfilé sa combinaison pour punir petit à petit avec des tirs à moyenne distance ; et c’est pour ça que Bolomboy a continué avec ses potes. Un 51-64 avec le prologue restant, une distance considérable que les supporters du Red Star considéraient comme récupérable.

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Barcelone n’a pas compris la même chose, qui a encore une fois fait un exercice de chorale, qui a joué comme les mousquetaires – tous pour un et un pour tous – et qui a su maîtriser une Étoile Rouge qui n’a pas arrêté ses efforts, à l’abri du découragement. Dos Santos et Gillespie ont réduit l’écart, mais Brizuela a répété le sien, un autre triple dans le sac, une autre gifle. À cela s’ajoutait le courage de Laprovittola, le leader silencieux de l’équipe, des nerfs d’acier et un poignet en or, et ce qui avait été donné était terminé. C’était la nuit de Brizuela mais aussi le jour où le Barça a dit que c’était autre chose.

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