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Aspects juridiques concernant l’expérimentation des inocula contre le covid – CienciaySaludNatural.com

Aspects juridiques concernant l’expérimentation des inocula contre le covid – CienciaySaludNatural.com

2023-10-03 01:39:25

Par le Dr Eduardo Ángel Yahbes, Docteur UBA

Il faut prendre conscience que notre pays a perdu l’État de droit. Bien que la Cour suprême de justice de la Nation reconnaisse dans un arrêt que la Constitution nationale (CN) n’est pas suspendue en raison d’une crise sanitaire, dans la pratique, tant les « pouvoirs » politiques que le « pouvoir » judiciaire violent la loi naturelle. et la Loi Positive qui le reconnaît.
Les responsables politiques mettent en œuvre les actions de santé proposées par les organisations transnationales et supranationales. Privés, comme le Forum économique mondial, ou privatisés comme l’Organisation mondiale de la santé, qui suivent leur propre agenda et défendent leurs propres intérêts. Ces intérêts dans les résultats obtenus vont à l’encontre des intérêts de l’humanité qui habite les pays qui suivent les mandats de ces organisations.
Les responsables judiciaires, par leurs actions et décisions, soutiennent cette politique de santé, en ne reconnaissant pas le principe de précaution, ni les présentations scientifiques qui ont été faites devant les tribunaux, pour soutenir les protections et mesures de précaution demandées, pour leur application au niveau général. Bien entendu, sans compter le CN, ni les lois et règlements qui limitent l’action du « pouvoir sanitaire ». Ces dispositions visent à défendre les Droits Très Privés des êtres, qui sont affectés jusque dans leur identité génétique, en permettant l’administration de procédures médicales transgéniques.

LES ASPECTS LÉGAUX
Le DNU 125/2021 établit que la population argentine fera l’objet d’un « essai clinique volontaire », ainsi que la résolution 2883/2020 du ministère de la Santé de la Nation, établit que la « vaccination » contre le virus appelé Covid 19 est « volontaire”. , NON obligatoire » (tel que formulé dans l’article 6 de la résolution citée, publiée dans : https://www.boletinoficial.gob.ar/detalleAviso/primera/239326/20201230
La législation de la République argentine a prévu, pour ces cas particuliers d’expérimentation sur des êtres humains, un système de garanties pour les expérimentateurs, afin d’éviter des risques inutiles s’ils se proposent comme « volontaires » dans une expérience médicale.
Traités internationaux relatifs aux droits de l’homme, incorporés à l’art. 75, paragraphe 22 de la Constitution nationale, sont devenus des guides éthiques et opérationnels liés à la recherche en santé humaine.
Tous conviennent que l’expérimentation médicale sur des êtres humains est absolument interdite, à moins que le participant ne soit volontaire et dûment informé du contenu de l’expérience, ainsi que d’autres droits qui affectent sa sécurité personnelle, comme le contrôle médical permanent de l’État. Attention à ne pas ignorer les conséquences, jusqu’à ce que les phases d’essais cliniques sur des êtres humains soient terminées.
La protection juridique et les droits de ceux qui participent à de telles enquêtes sont énoncés dans les art. 58 et 59 du nouveau Code civil de la nation argentine, dont la partie pertinente se lit comme suit :
Art.58 du Code civil. -Recherche sur l’être humain. Ils doivent répondre à une série d’exigences.
Article 59 du Code civil : – Consentement éclairé aux actes médicaux et à la recherche en santé.
À son tour, la résolution 1480/2011 du ministère de la Santé de la Nation régit. « Guide pour la recherche sur l’être humain », avec des règles détaillées qui garantissent un contrôle médical exhaustif avant et après l’expérimentation. Dans ce guide, entre autres, l’État doit garantir : Qu’un professionnel de la santé l’indique au moyen d’une ordonnance autorisant l’inoculation du médicament expérimental. Ce médecin doit être correctement individualisé. Le médecin responsable du centre de vaccination devra disposer d’un protocole d’urgence en cas d’effets indésirables graves et immédiats, qui aura à sa disposition le matériel pour répondre efficacement à l’urgence.
Disposition 5330/1997 de l’ANMAT (Régime de Bonnes Pratiques de Recherche en Études de Pharmacologie Clinique), par laquelle le Ministère de la Santé a l’obligation de fréquenter les centres où sont menées les recherches en Pharmacologie Clinique pour contrôler les expérimentateurs et le degré d’avancement des la recherche.
La disposition 6677/10 de l’ANMAT, à laquelle sont soumises les entreprises pharmaceutiques qui expérimentent des vaccins auprès de la population argentine, conformément aux autorisations d’urgence délivrées à chacune d’elles par cette entité dépendant du ministère de la Santé de la Nation, établit dans son partie pertinente suivante (entre autres) :
Les chercheurs doivent obtenir un consentement éclairé libre et volontaire, avec mention précise du contenu de l’expérimentation, des conséquences, des risques, du retrait volontaire, etc., signé par chacun des participants potentiels, avant leur participation à l’étude.
Il doit y avoir une preuve authentifiée de l’autorisation sanitaire en cours du centre de recherche.
«…preuve de la souscription d’une assurance ou de la constitution d’une autre forme de garantie dans le pays pour couvrir les risques ou dommages potentiels pouvant découler de la participation à l’étude.»
Un suivi permanent et un accès à tout type de consultation » (et) doit apparaître la phrase suivante : « Cette étude de pharmacologie clinique a été autorisée par l’ANMAT. Si vous avez des questions sur le traitement de la recherche, vous pouvez consulter l’ANMAT au 0800-333-1234 (numéro gratuit).
Toute violation de ce régime rendra les chercheurs et/ou les sponsors impliqués passibles des sanctions et/ou mesures préventives prévues par la loi nationale n° 16.463 et le décret 341/92 ou dans les règlements qui les remplacent, sans préjudice des actions les sanctions qui pourraient en découler et/ou la plainte auprès des autorités compétentes en matière de pratique professionnelle.
Toutes ces réglementations légales sont inévitables et obligatoires. Le CSJN a été très clair sur le fait qu’aucune déclaration d’« URGENCE SANITAIRE » ne peut ignorer la Constitution ou la législation nationale. C’est ce qu’affirme la Cour suprême de justice de la Nation, dans l’arrêt de 2021, par lequel elle a permis aux établissements éducatifs du CABA d’organiser des cours en présentiel. Il a été établi qu’aucune déclaration d’« urgence » ne libère le pouvoir réglementaire du droit ; les autorités doivent faire face à la responsabilité de résoudre les problèmes qu’elle soulève dans le cadre du respect des normes constitutionnelles. (CSJ 567/2021 Gouvernement de la ville de Buenos Aires c. État national (pouvoir exécutif national) s/action déclaratoire d’inconstitutionnalité », mai 2021.
Ces règles strictes n’ont jamais été respectées et ne le sont jamais non plus. En effet, depuis le début du processus de vaccination contre le COVID 19, comme cela est public et notoire, toutes les personnes ont été vaccinées sans respecter les dispositions établies par la loi. A tout cela, il faut ajouter que les vaccins injectés à la population disposent d’une notice détaillée avec la composition, les avertissements et les contre-indications, qui n’ont jamais été ou sont remises aux volontaires.
Il est obligatoire de procéder à des contrôles de sécurité sur tout médicament commercialisé auprès de la population, notamment dans les « vaccins » en phase de recherche ou d’essai clinique de phase III, comme ceux utilisés pour le Covid 19. Cependant, jamais un seul flacon du Des millions de personnes entrées dans le pays ont été analysées. Vaccins autorisés en « urgence », comme le prévoit la loi 27 573 et les publications du ministère de la Santé de la Nation.
https://www.argentina.gob.ar/justicia/derechofacil/leysimple/covid-19-vacunas-contra-covid#titulo-10
Il faut savoir que les mêmes entreprises qui produisent des inoculums à base d’ARN messager (et modifié) déclarent qu’ils contiennent des nanoparticules lipidiques (4-hydroxybutyle et Poly Ethyl enGlycol (PEG). Ils ont la capacité de produire des mutations, des thromboses et des cancers. Son utilisation est donc contre-indiquée en médecine humaine et vétérinaire. L’article 200 du Code pénal punit de trois à dix ans de prison quiconque fournit des produits toxiques à un être humain. voyager, entrer ou sortir du pays, travailler, étudier, produire, accomplir des démarches dans des organismes publics ou privés, tout cela viole l’article 14 de la Constitution nationale.
Lors de la deuxième audience informative organisée par le juge Alfredo López du Tribunal fédéral n° 4 de Mar del Plata pour le dossier d’amparo 414056/2022 contre le pouvoir exécutif, le prévenu a reconnu que le contenu des flacons de vaccin n’a jamais été analysé contre le covid 19, que seuls les documents venant de l’étranger, qui accompagnent les lots de vaccins à inoculer, ont été analysés.
À cette deuxième audience, ont été ajoutés les témoignages et les documents certifiés par le Notaire, dans l’Action Amparo susmentionnée, pour laquelle la biotechnologue Lic. Lorena Diblasi, qui travaille au CONICET de Neuquén, annonce qu’ils ont été détectés dans une recherche effectuée avec le Dr Marcela Sangorrín, les éléments chimiques suivants NON déclarés dans la composition de chaque marque de vaccin contre le Covid 19 : Cuivre, Brome, Titane, Silicium, Aluminium, Fluor, Fer, Chrome, Magnésium et Césium. De grandes et nombreuses particules fluorescentes ont également été trouvées, avec le même motif que l’oxyde de graphène. Ces particules, en raison de leurs caractéristiques, empêchent la possibilité d’approbation des inocula, selon le Chap. 788 de l’USP et 650 de la Pharmacopée Argentine.
Pour terminer la description de cette mauvaise gestion juridique, violant toutes les normes juridiques et réglementaires décrites, depuis le pouvoir exécutif jusqu’au ministère de la Santé, il convient de savoir ce qui se dessine. Au Forum de Davos 2023, dépendant du Forum économique mondial (organisme privé), un accord international vient d’être mis en œuvre pour tenter de donner à l’OMS (Organisation mondiale de la santé, organisation non gouvernementale financée à 80% par des sociétés pharmaceutiques privées), à travers le Le Règlement Sanitaire International, pouvoirs absolus sur la souveraineté de notre pays en termes de déclaration de pandémie, d’urgence climatique ou de tout événement pouvant affecter la population. Donner à cette organisation le pouvoir de prendre TOUTES les décisions qu’elle juge nécessaires pour contrôler ladite situation.
Il faut se référer à l’article 29 de la Constitution nationale, qui qualifie de « traîtres infâmes à la Patrie » ceux qui accordent ou acceptent « des soumissions ou une suprématie par lesquelles la vie, l’honneur ou la fortune des Argentins sont à la merci des gouvernements ou toute personne. “Des actes de cette nature comportent une nullité incurable et soumettront ceux qui les formuleront, les consentiront ou les signeront à la responsabilité d’infâmes traîtres à la Patrie.”
De même, il faut également faire référence à l’article 215 du Code pénal, qui punit de la réclusion à perpétuité quiconque « accomplit un acte visant à soumettre totalement ou partiellement la Nation à une domination étrangère ou à porter atteinte à son indépendance ou à son intégrité ».
Il est regrettable et inquiétant que dans notre pays aucune voix en désaccord avec la version officielle ne se soit levée, au sein des différents groupes politiques, constitutionnalistes, autres juristes, institutions médicales, soulevant cet asservissement de la souveraineté individuelle et bien sûr de notre patrie, développé par le gouvernement officiel. politique de santé, qui a accepté les mandats des organisations mondialistes transnationales.

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Eduardo Angel Yahbes
Docteur UBA



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