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Arsenal invente deux “faux neuf” et s’échappe à cinq points de City | Des sports

Arsenal invente deux “faux neuf” et s’échappe à cinq points de City |  Des sports

A cheval avec des émotions déchaînées, enflammées par les fans, par la musique —Nord de Londres pour toujours— et au parfum d’un titre qu’ils n’ont plus soulevé depuis 2004, Arsenal a usé ce mercredi le compact Everton avant de le déchirer en deux actions brillantes, aboutissement d’un football divin, simple, rapide, imparable aux pieds de joueurs enthousiastes et généreux. Le 2-0 d’avant la pause n’a pas fait marche arrière. Il a plongé le club de Liverpool dans la zone de relégation et consolidé Arsenal en tant que leader exultant du Premier ministre, avec un avantage de cinq points sur le poursuivant, Manchester City, dans la nuit qui a égalé les 25 matchs disputés.

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Aaron Ramsdale, Gabriel, William Saliba, Ben White, Zinchenko (Tierney, 81 min), Xhaka (Fabio Daniel Vieira, 72 min), Jorginho (Thomas, 45 min), Odegaard, Trossard (Eddie Nketiah, 72 min). ), Martinelli et Bukayo Saka (Emile Smith-Rowe, 81 min.)

Buts 1-0 min. 40 : Bukayo Saka. 2-0 min. 45 : Martinelli. 3-0 min. 70 : Odegaard. 4-0 min. 80 : Martinelli.

Arbitre Michel Olivier

Cartons jaunes James Tarkowski (51 min) Ben Godfrey (65 min)

“Nous sommes face à une énorme opportunité de percer”, prévenait Mikel Arteta la veille. Le manager d’Arsenal a fait asseoir le jeune Nketiah pour le mettre au poste de faux neuf à Trossard et Martinelli, deux ailiers légers, aventureux et dévoués qui ont alterné entre l’aile gauche et le centre de l’attaque comme deux moustiques entre les cornes d’un buffle. Pendant 40 minutes, la résistance d’Everton a semblé irréductible. Il n’y avait pas de place pour une épingle dans le bloc d’uniformes bleus, chaque fois plus en retrait et plus serrés les uns contre les autres. Peu à peu pourtant, les combinaisons et la contre-pression ont fini par éroder les défenseurs et les pivots que l’équipe visiteuse accumulait devant le gardien international, Jordan Pickford.

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L’Arsenal a fonctionné comme une unité de démolition. En commençant par Saliba et Magalhaes, leurs centraux, et en terminant par leurs intérieurs, la clé de tous les déséquilibres causés chez le rival. Tantôt le pivot Jorginho, tantôt le faux latéral Zinchenko, la plupart du temps l’incontournable Odegaard, alternaient pour s’aventurer dans l’entrejeu et changer l’horizon du jeu dans une danse qui avait un effet multiplicateur pour leurs attaquants. Saka, Martinelli et Trossard, d’abord enfermés dans l’enclos de Pickford, se détendent peu à peu. Vers la minute 40, Martinelli a rejoint Zinchenko dans les couloirs centraux avant que l’Ukrainien n’installe Saka. L’Anglais a marqué le premier, préambule du second, qu’il a lui-même servi d’un vol à Martinelli pour terminer.

vers de nouveaux sommets

Les victoires de Gueye, stupéfaites par la pression de Saka, ont été décrites dans la défaite qui s’est terminée par 2-0. Le milieu de terrain d’Everton n’a pas vu venir le scandaleux Saka, qui à 21 ans est devenu l’un des six joueurs de l’histoire du premier ministre qui à cet âge a participé à 50 buts avec des tirs ou des passes décisives. Des trucs d’Arsenal. Des choses d’une équipe qui a gravi plusieurs marches en six mois pour atteindre le sommet du niveau compétitif en Europe. Il ne descendra pas de là facilement. Au contraire, il semble emballé vers de nouveaux sommets, à en juger par la synchronisation qu’Odegaard, Trossard et Martinelli ont établie en seconde période, une avalanche de murs, gauche et contre-gauche en route vers 3-0 et 4-0 dans la ruines d’Everton.

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Dans l’autre match de la journée, Liverpool a battu Wolverhampton (2-0) à Anfield. La victoire pousse l’équipe de Klopp à la sixième position et à six points de Tottenham, quatrième de la Ligue des champions.

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