Nouvelles de l’ONS•aujourd’hui, 13:42
L’ancienne présidente de la Chambre des représentants et députée du PvdA Arib ne coopérera pas à l’enquête sur son fonctionnement que le président de la Chambre Bergkamp et le Présidium, le comité exécutif de la Chambre, veulent mener. Selon Arib, il y a une campagne de diffamation et un règlement politique.
“Je ne vais pas lui parler”, a déclaré Arib au NOS. “Je ne suis pas responsable devant Mme Bergkamp ou la présidence, ils ne sont pas mon employeur.” Elle qualifie le cours des événements de campagne de diffamation de Bergkamp. “Elle l’a également fait à l’approche de l’élection du nouveau président de la Chambre.”
Selon Arib, Bergkamp a activement recherché des plaintes dans son dos. Cela s’est produit à partir de juillet de cette année, lorsque Arib a été adopté par la Chambre choisi en tant que président de la commission temporaire Corona qui préparera l’enquête parlementaire.
Arib ne savait rien pendant tout ce temps, dit-elle :
Arib : c’est un calcul politique
“J’ai reçu une application hier en fin d’après-midi pour faire rapport à Bergkamp et à deux autres membres de la présidence aujourd’hui à neuf heures et quart. Je n’avais pas le droit de savoir à l’avance de quoi il s’agissait. Et puis le journal est sorti en dernier nuit.”
Selon Arib, elle n’a jamais été sollicitée pour un entretien par le comité d’entreprise du personnel de la Chambre des représentants dans le passé. Son président dire avoir déjà entendu les plaintes concernant les comportements transgressifs.
“Je ne connais pas ce président du comité d’entreprise, il a été élu après ma présidence”, raconte Arib. Elle dit aussi comprendre que la réorganisation a suscité des réactions de la part des fonctionnaires.
“Lorsque je suis devenu président de la Chambre, la Chambre des représentants m’a demandé de mettre de l’ordre dans l’appareil administratif de la Chambre. À ce poste, vous prenez parfois des décisions que les gens n’aiment pas ou il y a des changements qui ne plaisent pas aux gens. .”