La Bureau du Procureur suprême du Chili Il était favorable à l’extension de l’extradition de l’ancien dictateur Alberto Fujimori être jugé au Pérou pour les crimes de fourniture illégale d’armes à feu, association illicite pour commettre un crime, mensonge générique, conspiration et de plus.
Cela a été rapporté par le Bureau du procureur général de l’État c’est une déclaration. L’avis du Ministère public chilien doit être évalué par un Cour criminelle depuis Cour suprême de cette nation.
« Ayant satisfait aux exigences énoncées à l’article 647 du Code de procédure pénale (du Chili) et aux dispositions du Traité d’extradition entre la République du Chili et la République du Pérou, la Cour suprême du pays voisin propose d’accorder l’extension de l’extradition en raison de sa responsabilité en tant qu’auteur des délits de fourniture illégale d’armes à feu, d’association illicite pour commettre un délit, de mensonge générique, de conspiration et autres », a rapporté l’entité désormais dirigée par Javier Pacheco.
Justement, quand Daniel Soria était en charge de PGEun Pacheco a reçu le pouvoir de défendre le État péruvien dans les procédures visant à prolonger l’extradition de l’ancien dictateur.
Au total, il y a 8 cas pour lesquels l’État péruvien cherche à élargir l’extradition de l’ancien dictateur Alberto Fujimori. L’une d’elles est la vente d’armes aux Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC).
Un autre problème concerne les stérilisations forcées commises sous le régime Fujimori. Les autres cas sont le massacre de la prison Castro Castro, les exécutions à la résidence de l’ambassadeur du Japon, la « fraude liée à une chaîne de télévision à Lima », le massacre de la famille Ventocilla et les « enlèvements et tortures de soldats ».