hier, 22:00•Modifié aujourd’hui, 01:32
Le cabinet devrait allouer des centaines de millions d’euros supplémentaires pour permettre un accueil supplémentaire des demandeurs d’asile dans les municipalités. Un accord à ce sujet sera conclu “avec un peu de chance demain”, a déclaré jeudi soir Theo Weterings de l’Association des municipalités néerlandaises (VNG). l’heure des nouvelles. Pour le crise au centre d’application de Ter Apel Existe-t-il des propositions de solution à court terme ?
“Le besoin d’une solution est maintenant réel. Avec toutes les parties. Je suppose que le cabinet aura demain un bon morceau auquel on pourra dire oui. Un ensemble de mesures nécessaires qui doivent vraiment être prises maintenant”, déclare Weterings. .
En tout cas, selon le contremaître de toutes les municipalités néerlandaises, l’accord devrait également fournir le soulagement le plus rapide possible pour Ter Apel. “Des alternatives sont encore en cours d’élaboration.”
Agenda résidentiel
Les municipalités, réunies au sein du Conseil de sécurité, réclament plus de financement depuis longtemps. Les Pays-Bas ont désormais trop peu de places d’accueil pour le nombre de demandeurs d’asile qui arrivent. Avec l’argent supplémentaire, les municipalités devraient aménager des lieux pendant plusieurs années pour sortir de la crise de l’asile venir. “Alors ne partez pas si moins de gens viennent.”
Les municipalités souhaitent également un lien explicite avec l’agenda logement du ministre Hugo de Jonge. Emplacements résidentiels flexibles pour différents groupes cibles qui ont du mal à trouver un logement. “Demandeurs d’asile, mais pensez aussi aux jeunes qui cherchent un logement depuis longtemps”, explique Weterings, qui estime que les personnes qui ont de bonnes chances d’être autorisées à rester devraient rapidement se rendre dans des lieux où elles pourront s’intégrer.
‘Mensonterend’
Il y a eu aujourd’hui une consultation fébrile dans les Pays-Bas administratifs sur la situation à Ter Apel. La nuit dernière, sept cents demandeurs d’asile ont dormi à la belle étoile.
L’organisation humanitaire Médecins sans frontières qualifie la situation de “dégradante” et expédié Aujourd’hui, une équipe de crise s’est rendue au centre d’enregistrement. Vendredi, le personnel de MSF était déjà sur place pour examiner la situation. Ils ont parlé à des personnes qui n’avaient pas pu se laver depuis une semaine et à des malades chroniques qui avaient fini leurs médicaments.
Un employé du centre de demande, qui est employé par l’Agence centrale pour l’accueil des demandeurs d’asile (COA), raconte l’heure des nouvelles qu’il “grince et grince” à Ter Apel depuis octobre dernier. “C’est même devenu dangereux là-bas depuis deux semaines.”
Depuis peu, des groupes de demandeurs d’asile dorment souvent devant les grilles du centre. Aussi émeutes se produire. Dans les combats, tentharingen sont utilisés. “Nous ne pouvons plus garantir la sécurité de nos résidents”, déclare l’employé, qui ne souhaite raconter son histoire que de manière anonyme. “Notre sécurité est également en jeu.”
Depuis la semaine dernière, la municipalité considère la zone autour du centre d’application comme une zone à risque pour la sécurité. La police peut fouiller quiconque à titre préventif.