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Vaccin contre le crime : Pidienteros

Vaccin contre le crime : Pidienteros

Il y a longtemps, la société a commencé à faire la distinction entre les puissants et les misérables. La puissance des armes imposait des règles pour les différencier clairement. Les mendiants ont survécu sur les miettes des autres. L’évolution des colonies séparait le désespéré de la capacité de survie, ce qui déterminait la mort prématurée, la persécution incessante ou la livraison à celui qui détenait la force.

Les siècles ont été des villes en développement; les révolutions ont distribué la justice ou la terreur pour établir leurs paramètres sociaux, qui dans certains cas ont fini par être considérés comme moralement corrects. Au Moyen Âge, ceux qui pouvaient avoir quelque chance de prospérer ou de prospérer apparaissaient définis. Les ordres mendiants ne faisaient que demander de l’aide.

Le picaresque espagnol capturait à l’écrit ou à l’oral ce que souffraient ceux qui n’avaient pas été choisis par la fortune. Lazarillo de Tormes apprit bientôt que le moyen de vivre mal était de servir, c’est pourquoi il se tourna vers les faveurs du clergé. Parmi les plus pauvres, au prix de taureaux et autres services pour sauver les âmes, ces hommes pieux mangeaient et progressaient à la hâte.

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Manger des amandes, des pistaches ou des boyaux d’animaux signifiait parfois des friandises réservées à quelques-uns, car tout se mangeait. Les classes intermédiaires naissantes, qui travaillaient pour les puissants, devinrent les victimes potentielles de ceux qui ne voyaient d’autre choix que de s’emparer de leurs biens. Rinconete et Cortadillo, comme l’écrivait Cervantès, constituent le paradigme du voleur pour une Séville puissante et prospère, un modèle pour une manière de raconter.

Malgré le progrès de toutes les conditions, les misérables, ces êtres marginaux qui n’ont d’autre choix que de vivre de la charité des autres ou en spoliant leurs pairs avec ruse, habileté ou violence, ont évolué au vu de la prospérité d’une classe moyenne ouvrière ou de ceux qui ont se consacrer au développement du talent, de l’ingéniosité, du sacrifice et de l’effort pour s’améliorer et mieux vivre.

Les mendiants, comme alors, continuent de nous rappeler que la justice sociale a été à moitié faite, même si, aussi, une partie d’entre eux n’a rien fait d’autre que de se comporter comme des parasites ouvrant la main pour recevoir n’importe quelle aide privée ou publique sans but de travailler. .

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Parmi tant de mendiants modernes, qui ont renoncé à leur emploi, il faut les discriminer et essayer de les introduire par le cercle de l’activité.

Il ne semble pas correct de donner de l’argent pour que le chômage intéressé devienne une future profession. Il y a un manque de main-d’œuvre et il y a beaucoup de clochards de solennité. Pourtant, une population défavorisée pour des raisons aussi diverses que variées continue à devoir subsister de la mendicité privée ou officielle.

Les files d’attente réclamant de la nourriture nous rappellent qu’il y a beaucoup à faire, surtout par cette nouvelle classe sociale, qui se consacre au business d’une activité politique improductive, formant une sangsue retenant les initiatives, qui pourraient faire beaucoup et bien.

Et entre ceux qui ont plus ou moins et ceux qui manquent de tout, il y a des êtres exceptionnels, d’authentiques saints et bienfaiteurs, bien décidés à servir d’intermédiaires pour apporter aux uns ce que les autres donnent.

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Il est courant de voir un étalage de tirelires ou de cravates à la recherche de revers généreux donnant de l’argent pour les autres. Comme nombreux sont ceux qui poussent l’initiative privée pour combler cette kyrielle de carences, que les administrations publiques ont laissées comme d’authentiques gouffres de manque de solidarité.

Ahí están las asociaciones sin ánimo de lucro dedicando tiempo, esfuerzo y dinero para sacar adelante iniciativas de toda condición, en muchos casos para que su sociedad, de la que forman parte, pueda recibir ayuda y servicios dignos para tanta gente a la que le es essentiel.

Les aventures sociales de toute nature, loin des intérêts égoïstes, doivent être saluées et généreusement soutenues par les pouvoirs publics.

Nombreuses sont les volontés incontestables à la recherche d’objectifs bénéfiques qu’il convient de soutenir, car elles dignifient des sociétés qui ont besoin d’être encouragées. Il faut louer et reconnaître les mérites incalculables de ces pétitionnaires modernes.

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