Les fabricants et les régulateurs ont tiré la sonnette d’alarme il y a quelques semaines. Par la suite, des tentatives ont été faites dans le monde entier pour retracer les pièces distribuées par AOG Technics. On ne sait pas exactement combien de pièces sont impliquées ni combien de pièces sont déjà installées dans les avions. Le CFM56 est le moteur à réaction le plus vendu au monde. Il s’agit souvent de types d’avions qui constituent la plus grande partie de la flotte mondiale, comme le Boeing 737 et l’Airbus A320.
Des sociétés externes comme AOG Technics fournissent des pièces aux ateliers où sont bricolés les avions commerciaux. L’AESA a désormais demandé aux compagnies aériennes d’isoler les articles contenant des documents potentiellement falsifiés. L’organisme de surveillance déclare que jeudi, AOG Technics n’avait toujours pas de clarté sur l’origine des pièces.
Les nouveaux moteurs du constructeur CFM International ne seraient pas concernés. Il s’agit par exemple du successeur du CFM56, utilisé sur les derniers avions d’Airbus et de Boeing, comme l’A320neo et le 737 MAX. CFM International affirme travailler avec ses clients “pour évaluer l’authenticité de la documentation des pièces qu’ils ont obtenues directement ou indirectement auprès d’AOG Technics”.
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2023-08-31 23:16:00
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