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Une dispute familiale tourne au drame à Grivegnée : une femme de 76 ans poignardée à mort par sa petite-fille

Une dispute familiale tourne au drame à Grivegnée : une femme de 76 ans poignardée à mort par sa petite-fille

Marie-Louise Fomin-Leclercq, surnommée “Malou”, âgée de 76 ans, a été assassinée à plusieurs reprises avec un couteau dans l’appartement qu’elle occupait, dans la cité des Démineurs à Grivegnée.

Laurence, âgée de 40 ans, la petite-fille du mari de Marie-Louise, a été placée en détention provisoire. Ce sont des voisins qui ont alerté les secours le lundi 12 juin en soirée, car une mauvaise odeur se répandait dans tout l’immeuble à cause de la chaleur.

Les circonstances exactes de ce crime sont encore floues et font l’objet d’une enquête en cours. On sait cependant que les deux femmes entretenaient une relation conflictuelle et qu’une dispute violente avait éclaté entre elles un mois plus tôt. On ignore également si d’autres personnes étaient présentes au moment du meurtre ou s’il s’agit d’un acte commis par Laurence seule. L’enquête devra déterminer les motivations et les responsabilités de cette tragédie.

Les précédents événements

La presse locale a déjà relaté plusieurs incidents survenus auparavant dans le quartier où habitait Marie-Louise. Ces événements étaient notamment liés à des problèmes de voisinage et à des confrontations entre certains habitants.

Malgré le deuil et la peine qui frappent la famille, il est important de rappeler que la présomption d’innocence s’applique à Laurence jusqu’à ce que sa culpabilité soit établie. Tous les éléments de l’enquête doivent être analysés avec rigueur afin de rendre justice à la victime et de faire toute la lumière sur ce drame. La vérité devra être établie lors du procès et les responsables devront être punis conformément à la loi.

La situation actuelle

Ce tragique événement soulève des questions sur la sécurité dans le quartier et sur la nécessité d’améliorer les relations entre les habitants. Il est essentiel de renforcer la surveillance et de promouvoir la solidarité dans le but de prévenir de tels actes de violence à l’avenir.

La société se doit de soutenir les proches des victimes et de les accompagner dans leur processus de deuil. Des mesures de soutien psychologique doivent être mises en place pour les aider à surmonter cette épreuve traumatisante.

Il est également primordial d’établir un dialogue ouvert et constructif au sein de la communauté afin de résoudre les problèmes de voisinage et de favoriser la coexistence pacifique entre les résidents.

Nous espérons que cet événement tragique servira de prise de conscience et de point de départ pour des actions concrètes visant à prévenir la violence et à promouvoir un meilleur vivre ensemble dans notre société.

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