Un nouveau rapport sur la pauvreté évalue la qualité de vie dans les 10 provinces du Canada

Dans leur tout premier bulletins de pauvretéBanques alimentaires Canada a noté toutes les provinces et territoires selon diverses mesures liées à la réduction de la pauvreté et au niveau de vie.

De nombreux facteurs contribuent à la qualité de vie des personnes vivant dans un pays, une province, une ville ou une communauté en particulier. Ce qui suit décrit les performances de chaque province et territoire selon les bulletins de Banques alimentaires Canada, classés selon le nombre de nouveaux arrivants de résidence permanente en 2022.

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En particulier pour les nouveaux arrivants potentiels au Canada et les immigrants récents, ces mesures peuvent fournir des informations précieuses sur les variations de la qualité de vie à travers le Canada.

Résultats du bulletin de pauvreté

À l’aide d’une multitude de mesures – toutes regroupées sous quatre catégories générales : l’expérience de la pauvreté, les mesures de pauvreté, la privation matérielle et les progrès législatifs anti-pauvreté – Banques alimentaires Canada a récemment noté chacune des 13 provinces et territoires du Canada en fonction de leurs efforts et de leurs résultats en matière de réduction de la pauvreté. gouvernements locaux.

Certaines des mesures utilisées par Banques alimentaires Canada comprennent :

• Inconfort financier
• Mauvais accès aux soins de santé
• Insécurité alimentaire
• Niveau de vie insuffisant
• Chômage

Comme l’indique Banques alimentaires Canada, « ces notes représentent l’efficacité des efforts de réduction de la pauvreté ». [at the provincial, territorial, and federal government” levels. These Report Cards explore the experience of poverty across Canada and where governments can take steps to improve their social policy.” In summary, here is how each province scored overall.

• Ontario: D-
• Quebec: B-
• British Columbia: D+
• Alberta: D
• Manitoba: C-
• Saskatchewan: D
• Nova Scotia: F
• New Brunswick: D-
• Newfoundland and Labrador: D-
• Prince Edward Island: C-
• Yukon, Northwest Territories and Nunavut: Incomplete*

*The report card for each of Canada’s three territories received an incomplete grade because, “due to low sample size, data for this region may not accurately real-life circumstances.”

Policy Recommendations from Food Banks Canada

Food Banks Canada outlines four general groups of policy recommendations for the Canadian government in their 2022 HungerCount report, which will be discussed below.

1. Establish a Minimum Income Floor 

While there exists some level of a minimum income floor (MIF) for Canadian seniors and families with children across the country, Food Banks Canada recommends that the government commit to moving towards a MIF for all Canadians.

This, according to Food Banks Canada, should begin with establishing two more “pillars” to Canada’s income floor – for Canadians living with a disability and those of working age in Canada who are single and “unattached”.

Canadians living with a disability, says the report, make up a significantly increasing number of Food Bank visitors. This is said to be a result of the fact that “not a single province” provides single Canadians with a disability “a sufficient income”, even after factoring in federal benefits. Similar trends in Food Bank visitation/usage can be seen among single working-age adult Canadians. This can be taken as a sign of the financial struggles of this group, much the same as the data suggests about Canadians with a disability.

Establishing a MIF for more distinct subsets of Canada’s population, therefore, can help Canada progress towards more income security for people across the country – a move that will aid in ensuring we “pave the way for a more resilient Canada where no one is left behind and no one goes hungry.”

2. Address Affordable Housing 

To aid Canadians in the journey to finding affordable housing, which contributes to the use of Food Banks across Canada, some suggestions from Food Banks Canada include more focus on “building and introducing new affordable units” as well as “helping make the existing market more affordable.”

Citing Manitoba’s rent assist program as an example, the report says that this program allowed beneficiaries to make “smart planning decisions with their funds” as well as “focus on other aspects of their life, such as furthering their education [and] élever… leurs enfants… [also enabling] pour qu’ils achètent des produits d’épicerie plus sains.

De manière générale, Banques alimentaires Canada souligne les quatre mesures d’action suivantes comme moyens par lesquels le gouvernement canadien peut contribuer à accroître la sécurité alimentaire et les résultats positifs connexes en s’attaquant au logement abordable :

• Mettre en œuvre immédiatement un programme national d’aide au loyer basé sur une version élargie de l’Allocation canadienne pour le logement.
• Explorer le financement communautaire ciblé pour l’acquisition de logements abordables. Banques alimentaires Canada affirme que cela pourrait impliquer « de fournir un financement en capital (prêts et subventions) à des organismes sans but lucratif afin qu’ils puissent acheter et fournir des propriétés locatives au loyer médian du marché ou en dessous ».
• Développer des réglementations ou une fiscalité plus strictes pour les entités financières (REIT, fonds de capital-investissement, sociétés de gestion d’actifs et fonds de pension) sur le marché immobilier

3. Soutenir les travailleurs à faible revenu

À l’heure actuelle, les salaires des Canadiens à faible revenu ne suffisent pas à subvenir à leurs besoins alors que le coût de la vie et de la nourriture continue d’augmenter.

En d’autres termes, le Canada continue d’avoir un segment important de sa population qui peut être classé comme « les travailleurs pauvres » – des Canadiens qui ont un emploi et qui « reviennent encore au pays avec trop peu d’argent pour se nourrir et nourrir leur famille ».

Pour améliorer les résultats et la sécurité financière des travailleurs à faible revenu du Canada, voici quelques-unes des mesures que Banques alimentaires Canada suggère au gouvernement de prendre :

• Prolonger la durée maximale des prestations d’assurance-emploi à 52 semaines, suivie d’une réduction échelonnée des prestations en espèces tout en conservant l’accès aux soutiens non monétaires de l’assurance-emploi (comme la formation et l’éducation).
• Élargir de façon permanente la définition d’« emploi » admissible à l’assurance-emploi pour inclure « le travail indépendant et le travail précaire »
• Réviser et réduire le nombre d’heures d’emploi nécessaires pour être admissible à l’assurance-emploi (actuellement entre 420 et 700 heures d’emploi assurable).
• Élargir les dispositions relatives au travail pendant une période de prestations (WWC) dans l’assurance-emploi pour permettre aux travailleurs de conserver une plus grande partie de leur revenu provenant d’un travail temporaire ou à temps partiel pendant qu’ils reçoivent de l’assurance-emploi.
• Introduire des incitations gouvernementales pour encourager les entreprises à verser un salaire décent à tous leurs employés

4. Combattre l’insécurité alimentaire dans les régions rurales et du Nord du Canada

Un problème qui ne fera qu’empirer avec le temps avec la hausse du coût du logement et de la nourriture partout au Canada, malgré le développement de programmes tels que Nutrition Nord, visant à réduire le coût des aliments et l’insécurité au moyen de subventions ainsi que d’autres « programmes et programmes ciblés ». initiatives », ces régions n’ont pas connu « le [positive] impact sur les coûts alimentaires que beaucoup espéraient lorsque le programme a été introduit pour la première fois.

Selon Banques alimentaires Canada, l’insécurité alimentaire dans ces régions est fonction de multiples facteurs, notamment « des salaires constamment inférieurs parmi ceux qui vivent dans le Nord, des coûts élevés du logement et de l’énergie, et [other factors] qui empêchent la collecte de sources alimentaires traditionnelles et fiables.

En prenant des mesures telles que l’établissement d’un FIM dans ces communautés éloignées, en examinant l’initiative Nutrition Nord Canada (pour comprendre pourquoi elle ne fait pas suffisamment efficacement son travail pour réduire les coûts alimentaires à l’échelle régionale) et en travaillant à élargir l’accès à Internet pour le bien de la main-d’œuvre locale. et les résultats du travail, Banques alimentaires Canada suggère que le gouvernement puisse commencer à s’attaquer « aux causes profondes à long terme de l’insécurité alimentaire dans le Nord » pour le bien-être de tous ceux qui vivent dans les zones touchées.

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