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Un criminel condamné est encore propriétaire d’une garderie subventionnée à MontréalLa garderie subventionnée Le petit monde de Sophia à Montréal est toujours propriété d’un criminel, Alain Sarrapuchiello, malgré sa condamnation pour vol de milliers de dollars en janvier 2022. Il a évité la prison, mais s’est vu forcé de verser 45 000 $ au plaignant et d’accomplir 150 heures de travaux communautaires. Bien que cette information soit publique, il a fallu sept mois avant que le ministère de la Famille ne se rende compte de sa condamnation. Le ministère a alors demandé à la garderie de changer de propriétaire ou de fermer. Sarrapuchiello est également propriétaire d’une nouvelle garderie de 44 places, autorisée en décembre 2018 et en évaluation par le ministère en attendant une solution. La garderie Le petit monde de Sophia avait été condamnée à payer 22 500 $ d’amendes en 2020 pour des gestes troublants d’une éducatrice envers des enfants.

Un criminel condamné est encore propriétaire d’une garderie subventionnée à MontréalLa garderie subventionnée Le petit monde de Sophia à Montréal est toujours propriété d’un criminel, Alain Sarrapuchiello, malgré sa condamnation pour vol de milliers de dollars en janvier 2022. Il a évité la prison, mais s’est vu forcé de verser 45 000 $ au plaignant et d’accomplir 150 heures de travaux communautaires. Bien que cette information soit publique, il a fallu sept mois avant que le ministère de la Famille ne se rende compte de sa condamnation. Le ministère a alors demandé à la garderie de changer de propriétaire ou de fermer. Sarrapuchiello est également propriétaire d’une nouvelle garderie de 44 places, autorisée en décembre 2018 et en évaluation par le ministère en attendant une solution. La garderie Le petit monde de Sophia avait été condamnée à payer 22 500 $ d’amendes en 2020 pour des gestes troublants d’une éducatrice envers des enfants.

L’horreur s’installe dans la société lorsque l’on réalise que la confiance que l’on met dans les institutions n’est pas toujours justifiée. C’est le cas avec l’affaire qui a secoué la France il y a peu, où un criminel notoire a pu diriger une garderie pendant des mois sans que le Ministère de tutelle ne le découvre. Une situation qui soulève des questions sur les protocoles de contrôle mis en place pour assurer la sécurité des enfants et révèle une faille béante dans le système. Cet article examine les tenants et les aboutissants de cette affaire alarmante et les leçons à en tirer pour l’avenir.


Alain Sarrapuchiello, propriétaire de la garderie subventionnée Le petit monde de Sophia à Montréal, a été reconnu coupable de vol il y a plus d’un an, mais est toujours en activité. Le Ministère de la Famille a affirmé qu’il est resté vigilant mais n’a rien fait suite à l’accusation, invoquant la présomption d’innocence. Après avoir été informé du casier judiciaire de Sarrapuchiello, le ministère a finalement demandé à la garderie de fermer ou de changer de propriétaire. Sarrapuchiello a indiqué son intention de vendre ses actifs, mais la garderie est toujours en activité. En outre, la garderie a été condamnée à payer des amendes pour des gestes troublants commis par une éducatrice envers des enfants. La ministre de la Famille, Suzanne Roy, a affirmé que Québec avait laissé trop de chances aux garderies problématiques et souhaite légiférer pour changer le système et « serrer la vis » aux récidivistes. Elle envisage de donner le pouvoir au ministère de suspendre ou de congédier une éducatrice lors d’une enquête, fermer instantanément une garderie où la sécurité des enfants serait menacée et augmenter le coût des amendes pour qu’elles soient plus dissuasives. En attendant, elle promet que les garderies problématiques seront sous « très très haute surveillance ».

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