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“Un appel à l’assouplissement des règles sur l’avortement lancé lors de la révision” – The Irish Times

“Un appel à l’assouplissement des règles sur l’avortement lancé lors de la révision” – The Irish Times

La révision des lois sur l’avortement en Irlande suscite actuellement des débats animés. Selon un article récent publié dans The Irish Times, les partisans de l’assouplissement des règles sur l’avortement ont renouvelé leurs appels à la réforme de la loi pour garantir l’accès à l’avortement pour toutes les femmes, sans exception. Cette question complexe soulève des préoccupations profondes et émotionnelles pour les Irlandais et leur gouvernement, ainsi que pour les militants des droits des femmes dans le monde entier. Cet article examinera les enjeux clés de la révision en cours et les implications potentielles de tout changement à la loi irlandaise sur l’avortement.

Une nouvelle révision de la loi sur l’avortement de l’État devrait recommander un assouplissement des règles existantes qui pourrait impliquer la suppression de l’attente de trois jours pour accéder aux médicaments.

Le ministre de la Santé, Stephen Donnelly, a reçu plus tôt ce mois-ci un rapport rédigé par l’avocate Marie O’Shea qui examine le fonctionnement de la loi sur l’avortement. Elle a été nommée par le gouvernement pour présider l’examen l’année dernière.

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Deux sources politiques de haut niveau ont déclaré que l’examen recommandait un «assouplissement» de la loi actuelle, y compris la suppression potentielle de l’attente de trois jours pour accéder aux médicaments de terminaison.

Un certain nombre de politiciens ont appelé à la suppression de la période d’attente, notamment People Before Profit TD Bríd Smith, la dirigeante Soc Dems Holly Cairns et la dirigeante travailliste Ivana Bacik.

Aontú, cependant, a déclaré que les femmes devraient attendre cinq jours pour avoir accès aux médicaments d’interruption de grossesse.

Le rapport est censé offrir une évaluation au gouvernement pour savoir si les services décrits dans la législation actuelle sont fournis. Il formule également des recommandations en matière d’amélioration des services. Le rapport aurait également examiné la question de l’objection de conscience et reçu des observations préliminaires d’une équipe de recherche du Trinity College de Dublin (TCD) qui examine la question.

Une source de haut niveau a déclaré qu’un nouveau comité Oireachtas pourrait devoir être créé à la suite de l’examen afin de trouver un consensus entre les partis sur toute modification de la législation. À tout le moins, il sera probablement renvoyé au Comité de la santé de l’Oireachtas pour examen.

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L’un des volets de l’examen consistait à examiner les expériences des femmes. Le Health Service Executive a précédemment chargé le Dr Catherine Conlon du TCD d’examiner cette question. Dans son rapport, publié l’année dernière, elle a déclaré que les données qu’elle avait recueillies indiquaient que l’attente obligatoire de trois jours devrait être supprimée de la législation.

“Au lieu de cela, le modèle de soins devrait conserver une deuxième consultation facultative pour que les femmes puissent y assister dans un délai convenu par elles et leur prestataire tout en permettant au service d’être fourni en une seule consultation si elles le préfèrent.”

Un porte-parole de M. Donnelly avait précédemment déclaré qu’il examinerait ses conclusions et présenterait une note au Cabinet dans quelques semaines. Il sera ensuite publié. « Le ministre a reçu le rapport. Après l’avoir examiné, il a l’intention de le présenter au Cabinet et de le publier. Le ministre prévoit de le publier à la mi-avril », a déclaré un porte-parole plus tôt ce mois-ci.

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La loi sur l’interruption de grossesse prévoit un réexamen de la législation trois ans après sa mise en œuvre. Ce travail a commencé il y a un an. La loi, entrée en vigueur le 1er janvier 2019, prévoit l’avortement sans restriction jusqu’à 12 semaines de gestation, sous réserve d’une période d’attente de trois jours.

Les avortements sont également autorisés après 12 semaines s’il existe un risque pour la vie ou la santé de la mère ou dans les cas où il est jugé que le fœtus mourra avant ou dans les 28 jours suivant la naissance.

Le Conseil national des femmes a demandé que le rapport sur le fonctionnement des lois sur l’avortement de l’État soit publié sans délai.

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