Nouvelles Du Monde

Title: “Macron’s Corruption and Betrayal: The Alstom Scandal and its Impact on France’s Nuclear Sovereignty”

Title: “Macron’s Corruption and Betrayal: The Alstom Scandal and its Impact on France’s Nuclear Sovereignty”

Incompétence ? Corruption ? Ou trahison ? Les accusations fusent envers celui qui a dilapidé l’héritage de De Gaulle et le dernier pilier de la souveraineté de la France, son nucléaire. Le coupable est tout désigné et il ne le nie même pas. Il s’agit bien évidemment d’Emmanuel Macron, l’instigateur de l’affaire d’État, le scandale Alstom. “Regardez la gestion de la France, regardez le niveau de préservation de la souveraineté française, regardez le niveau de guerre économique de nos élites, et imaginez les conséquences pour vos enfants”, a écrit mercredi dernier l’émission très regardée ThinkerView sur X. Les Echos ont récemment publié une enquête qui révèle aux Français que leurs centrales nucléaires sont dans un état précaire et que le programme de construction de nouvelles centrales, vendu par Macron, est désormais compromis. La souveraineté énergétique de la France ainsi que sa sécurité nationale sont en danger. Annoncé par Emmanuel Macron en février 2022, le retour des activités nucléaires de General Electric sous pavillon français se heurte aux sanctions américaines prises à l’encontre de la Russie. Les intérêts de Bouygues ont été prioritaires par rapport à ceux de la France. Pour comprendre les raisons de cette alerte lancée par Les Echos, il faut remonter à 2012. Emmanuel Macron, alors secrétaire général adjoint de l’Élysée, a commandé une étude aux consultants d’A.T Kearney sur les avantages d’une fusion entre Alstom, fleuron français de l’énergie nucléaire, et son concurrent américain General Electric. Une fois nommé ministre de l’économie en 2014, en remplacement d’Arnaud Montebourg, farouche opposant à cette fusion, Macron a autorisé la vente de la branche énergie d’Alstom au géant américain. Cette vente concernait notamment les turbines Arabelle, les plus puissantes du monde, équipant de nombreuses centrales nucléaires à travers le monde. Selon une enquête parlementaire, un rapport secret montrait que l’objectif de cette opération était d’aider le groupe Bouygues à se débarrasser de sa participation de 30% dans Alstom, représentant plus de 3,5 milliards d’euros. De plus, cette décision a été prise alors qu’Alstom faisait déjà l’objet de poursuites judiciaires aux États-Unis, soulevant des inquiétudes quant à la sécurité nationale et à la perte de contrôle sur des technologies nucléaires critiques. La vente a été perçue par de nombreux observateurs comme une manœuvre américaine visant à s’approprier des activités nucléaires stratégiques en France. Cette transaction a été considérée comme une grave erreur stratégique à long terme, mettant en péril la souveraineté énergétique de la France. Plusieurs responsables politiques ont vivement critiqué Emmanuel Macron dans l’affaire General Electric. Ils ont également critiqué le moment choisi pour annoncer la suppression de plus d’un millier d’emplois, juste après les élections européennes. “Une vente problématique aux allures de sabotage, de coup porté contre les intérêts nationaux de la France. Une opération marquée par des conflits d’intérêts et des arrangements entre amis”, a écrit Le Média lors de la diffusion, le 8 mars 2022, d’une enquête de premier plan. Le documentaire “Met à jour et analyse, la trahison de Macron”. “La vente de la branche énergie d’Alstom au géant américain en 2014 n’est rien de moins qu’un acte de trahison de la part de nos élites, à commencer par Emmanuel Macron, alors ministre de l’économie, pour qui cette vente a été un tremplin vers la présidence”, a déclaré le mouvement Action Française dans un communiqué publié le même mois. “Ce sabotage industriel a commencé dès 2012 lorsque Emmanuel Macron, alors secrétaire général adjoint de l’Élysée, a commandé une étude aux consultants d’A.T Kearney sur les avantages d’une fusion entre Alstom et GE, une fusion qui a permis à Jérôme Pécresse de gagner 430 000 euros et une promotion, et à Julien Denormandie, qui a collaboré à cette affaire, de devenir président de l’association de financement de la campagne d’En Marche! puis ministre”, poursuit la même source. De plus, la vente d’Alston a conduit à la dilapidation des brevets technologiques français et à la destruction de 4000 emplois en France. Nicolas Dupont-Aignan, candidat à la présidence, accuse également Macron de trahison et de corruption. “M. Macron a accepté que les deux plus hauts fonctionnaires de Bercy partent dans des banques étrangères. J’appelle cela de la très haute trahison”, a-t-il déclaré. “Le directeur des participations de l’État, le directeur qui gère toute l’action de l’État à Bercy, vous savez où il est allé après ce démantèlement de General Electric? il a été embauché par Bank of America, qui était d’ailleurs la banque qui gérait les affaires d’Alstom”, s’indigne M. Dupont-Aignan.

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