L’opposition turque doit rattraper un retard de onze jours pour tenter de déloger Recep Tayyip Erdogan du pouvoir le 28 mai, après avoir manqué de peu d’être battue dès le premier tour de la présidentielle dimanche dernier. Le candidat Kemal Kiliçdaroglu, chef du Parti républicain du peuple (CHP, social-démocrate), doit se réunir avec les cinq autres dirigeants de l’alliance de l’opposition turque afin de définir une stratégie plus offensive. Kemal Kiliçdaroglu a purgé une partie de son équipe et va confier les rênes de sa campagne à Ekrem Imamoglu, très populaire maire CHP d’Istanbul, et à Canan Kaftancioglu, cheville ouvrière de la victoire d’Ekrem Imamoglu à Istanbul en 2019, le pire revers électoral du chef de l’Etat depuis son avènement au poste de premier ministre en 2003.
Une exposition montre les « fractures de guerre » dans le paysage urbain letton / Article
Rezekne, Gulbene, Jelgava, Bauska, Valmiera et Riga. Les photographies montrent les changements et les ravages provoqués par