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Strenes entretient l’idylle avec la cathédrale

Strenes entretient l’idylle avec la cathédrale

2023-05-06 22:51:53

Avec complet dans les deux sessions qu’ils ont proposées, Les amis des arts ils ont fermé hier sur les marches de la cathédrale présente édition de Strènes à Gérone. Le trio formé par Dani Alegret, Joan Enric Barceló et Ferran Piqué a présenté en direct les thèmes de Où je voulais un ouvrage publié cette même année et avec lequel ils reviennent aux origines de l’autogestion avec des chansons qui évoquent le besoin de toucher le sol et la recomposition émotionnelle.

Les deux concerts, qui se sont déroulés à 19h30 et à 22h, ont servi aux auteurs de tubes comme Jean-Luc ou Ja no ens passa, à retrouver le public trois ans après leur parution, en pleine pandémie, de l’album Le signe que vous attendiez (2020). Dans les deux concerts, le groupe a interprété les nouvelles chansons sans renoncer à la récupération vieux succès qui a ravi le public enthousiaste qui remplissait les escaliers.

Entre les deux concerts d’hier, il n’y avait qu’une seule chanson du répertoire différent. Alors qu’à la première session ils optaient pour Un bon exemple, au deuxième concert le pari était pour Estimeu-me.

Avec cette double performance, le festival Strenes a clôturé son édition de Gérone, étant donné que la semaine prochaine, il fera ses valises pour créer, à Barcelone, le première édition de Strenes Urbanaun engagement envers la musique urbaine catalane qui aura lieu à l’Antiga Fàbrica Damm dans la capitale catalane avec une programmation dirigée par des noms tels que Lildami, Bounce Twice, Lal’ba, Sofía Gabanna ou Figa Flawas, entre autres.

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L’édition actuelle des Strènes a débuté le 31 mars dernier à l’Auditorium de Gérone avec le concert des Chouettes, qui a présenté en direct son nouvel album, La nit està que crema. Le festival a également présenté d’autres noms importants, tant de la scène catalane qu’espagnole, tels que Tanxugueiras, Luz Casal, Viva Suecia, Judit Neddermann, Anna Roig, Sílvia Pérez Cruz, The Tyets, Mariona Escoda ou Beth, qui a choisi le Girona événement musical pour célébrer ses vingt ans de carrière d’artiste.

En attendant de connaître les chiffres définitifs de cette édition, le festival pourrait dépasser la quasi-totalité de cette année 20 000 spectateurs qui ont assisté aux concerts de l’année dernière.

Joan Dausà souffle les bougies

Vingt-quatre heures avant que les Amis des Arts mettent un terme au programme Strènes à Gérone, Joan Dausa il était chargé de les remplir escaliers de la cathédrale avec la présentation du circuit Jo Mai Mai pour commémorer les 10 ans du chanteur et de son groupe sur scène. Dausà sait qu’il n’a pas besoin de feux d’artifice pour convaincre le public. Son public, inconditionnel, qui chante timidement les paroles, qui fait tout ce qu’on lui demande, qui apprécie que le chanteur et les musiciens descendent les escaliers du haut en bas de la scène dans le premier bis. Le style Dausà captive également ceux qui assistent aux deux concerts du samedi ils savaient ce qu’ils trouveraient. Et ils savaient que les chansons choisies seraient celles que tout le monde voulait entendre ; les grandes références des quatre œuvres et des bandes sonores qui leur ont donné la chair de poule, même si certaines étaient attendues.

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Joan Dausà lors du concert de vendredi Gaspar Morer/Strènes


Le premier était, Jo Mai Mai acoustique, et il l’a fait assis, lui et la guitare sur scène et surpris par le cri du public au moment du “fucking Héctor”. “Quand c’est acoustique, ça s’appelle fluixet”, dit-il avec un sourire. C’était une manière douce d’ouvrir le concert, de continuer avec les chansons calmes, qu’il interprétait chronologiquement en passant en revue sa carrière et sa vie, ou du moins ce qui explique ce qui lui arrive et qui l’inspire à maintes reprises pour écrire les lettres. “Et Judit, quand va-t-elle le faire ?”, pouvait-on entendre de temps à autre.

Dausà a poursuivi: Monsieur Sommer, j’aurais aimé, Appelez-moi, en vous connectant avec les adeptes les uns après les autres. Tout le monde s’est assis, discipliné, écoutant attentivement ce que la chanteuse expliquait entre les morceaux jusqu’à ce que l’histoire de la chanson de l’été 2019 pour Estrella Damm arrive. “Bitch mother, the song of the summer, up, but they said me ‘no'” et le résultat fut Another way of living, peut-être l’une des plus calmes de ses compositions. Et parce qu’ils ne l’ont pas laissé monter, est venu rester de cette façon, avec laquelle il a réussi à faire faire sortir le public de son siège.

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On a tout compris, un des attendus – pas des plus -, arrivé avant les rappels, tout en annonçant qu’il ne tardait pas jusqu’à la fin de l’heure et demie de concert. Et enfin, Judit, l’avant-dernière, celle-ci la plus désirée, pour laisser place à la version avec toute la bande de Jo Mai Mai, qui clôturait la nuit de Joan Dausà sur les marches de la Cathédrale.



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