Ces réunions sont destinées à la fois aux personnes touchées et à leurs familles ou à leurs proches. L’association s’est implantée en Dordogne sous la direction de Bruno de Beaurepaire, qui a eu la douleur de perdre sa fille, décédée d’anorexie en 2001. « Je n’ai pas su l’aider », analyse ce Charentais-Maritime qui anime le réseau SAB dans la région. Il explique : « Nous voulons partager, accompagner, soutenir, informer, comprendre et accepter. Avec l’espoir et la confiance, nos blessures cicatrisent peu à peu. Avec l’aide des professionnels, nous pouvons nous libérer peu à peu. »
La prochaine réunion se tiendra samedi 6 janvier, de 10 à 12 heures, à la maison de quartier du Toulon (rue Forquenot) à Périgueux.
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2024-01-03 11:05:44