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Séparation : Pourquoi ce n’est pas la fin du monde

Séparation : Pourquoi ce n’est pas la fin du monde

En annonçant leur séparation il y a quelques jours, Sophie Grégoire et Justin Trudeau ont montré aux Canadiennes, aux Canadiens et au monde entier que la séparation n’est pas la fin du monde.

Je n’ai jamais compris pourquoi la société perçoit souvent la séparation comme un échec. Comme si cela brisait la famille lorsque des enfants sont impliqués, comme si tout ce qui avait été construit s’effondrait.

Je n’ai jamais été d’accord avec cela.

Moi, je félicite les gens de mon entourage qui se séparent.

La séparation est souvent une bonne chose

Mes parents se sont séparés lorsque j’avais neuf ans et savez-vous quoi? Je leur suis reconnaissant de l’avoir fait. Pas parce que mes parents se disputaient lorsqu’ils étaient ensemble, mais parce qu’en se séparant, mes parents sont devenus plus heureux. Et en grandissant, je réalise que c’est une grande chance d’avoir des parents heureux.

À tous ceux et celles qui jugent Monsieur Trudeau et Madame Grégoire, ou qui jugent les couples de leur entourage qui se séparent, j’aimerais rappeler que :

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Être premier ministre ou être la femme d’un premier ministre ne signifie pas être obligé de rester dans une relation insatisfaisante.

Avoir des enfants avec son partenaire ne signifie pas être obligé de rester.

J’ai connu beaucoup d’enfants qui n’ont pas du tout été traumatisés par la séparation de leurs parents. J’en ai même connu pour qui préférer avoir des parents séparés leur permet de passer plus de temps seul avec chacun de leurs parents.

Au lieu de dire “ah oui, je le savais que ça n’allait pas durer” ou encore “ils n’ont pas essayé fort fort”, pourquoi ne pas admirer ces personnes qui vont vers ce qui est le mieux pour elles?

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