Par Loriana CandelaVerserCiné-Télé-Revue
Après des semaines de rebondissements, le sixième prime de « Danse avec les stars » qui s’est tenu vendredi devait être plus calme que les précédents, et moins sujet aux polémiques. C’était sans compter le malaise d’Inès Reg, qui lui a valu d’être une nouvelle fois au centre de toutes les discussions sur les réseaux sociaux.
D’après Camille Combal et le médecin de l’émission, Inès Reg a été victime d’un malaise dans les loges du studio. Examinée, elle aurait été déclarée inapte à poursuivre le show vendredi soir, et donc incapable de disputer un éventuel face-à-face. Cette nouvelle est tombée juste avant que le public puisse choisir quels couples il désirait sauver de la dernière épreuve.
Inès Reg a pu bénéficier d’un « joker médical » et n’a pas été soumise au vote du public. Restaient donc Black M, Keiona, Adeline Toniutti, James Denton et Natasha St-Pier. L’ex-membre de « Sexion d’Assaut » et le plombier de « Desperate Housewives » ont pu échapper au face-à-face grâce aux votes en leur faveur.
Natasha St-Pier, Keiona et Adeline Toniutti ont eu une minute chacune pour convaincre une dernière fois les téléspectateurs qu’elles méritaient de rester. Contre toute attente, c’est la professeure de chant de la « Star Academy » qui a dû quitter la compétition, avec 17 % des voix.
Invitée de Sud Radio ce lundi, Adeline Toniutti est revenue sur son dernier prime, qui n’a pas été une partie de plaisir. Bien qu’elle n’ait rien laissé paraître, la candidate souffrait de douleurs à l’épaule et aux côtes. « J’avais mal. De toute façon, vous me connaissez, si je suis blessée je vais y aller quoi qu’il en coûte, quoi qu’il advienne. Il faudrait vraiment qu’on me fasse arrêter pour que je n’y aille pas. Moi j’avais une souffrance toute la soirée. Je me suis battue sur ce jive. J’avais la côte déplacée, ça me faisait très mal », a-t-elle confié.
Lorsque l’animateur lui a demandé la part de responsabilité d’Inès Reg dans son élimination, la chanteuse a répondu de manière bienveillante, sans nier le fait que les choses auraient peut-être été différentes : « Dieu seul le sait. La pauvre n’était pas bien, elle a fait un malaise. De facto, quand il y a un événement comme ça extérieur, ça change le jeu, c’est sûr. »