On avait découvert Cyril Schäublin il y a six ans avec Ceux qui vont bien un premier long métrage autoproduit qui séduisait par son langage singulier. Avec Unrueh le réalisateur zurichois, qui a étudié entre la Chine, l’Allemagne et la France, creuse le sillon d’une narration aventureuse, d’un cinéma qui ne cherche pas à reproduire des schémas éprouvés. Ce deuxième film se déroule dans le Jura horloger de la fin du XIXe siècle, avec en toile de fond la naissance du mouvement anarchiste international.
Rencontre avec Cyril Schäublin: «Unrueh»: horlogers, anarchistes et décalages temporels dans le Jura du XIXe siècle
Cet article vous intéresse?
Ne manquez aucun de nos contenus publiés quotidiennement – abonnez-vous dès maintenant pour accéder à tous nos articles, dossiers, et analyses
Jusqu’au 25 Décembre, profitez de 30% de rabais sur tous nos abonnements
CONSULTER LES OFFRES
Les bonnes raisons de s’abonner au Temps:
Consultez tous les contenus en illimité sur le site et l’application mobile
Accédez à l’édition papier en version numérique avant 7 heures du matin
Bénéficiez de privilèges exclusifs réservés aux abonnés
Accédez aux archives
Déjà abonné(e) ?
Se connecter
#Unrueh #sacré #meilleur #film #suisse #lannée #par #lAssociation #des #journalistes #cinématographiques
publish_date]
