Dans une affaire dramatique survenue récemment, David Piton, un homme accusé d’avoir assassiné son ex-compagne, a refusé de prendre en main la carabine utilisée pour commettre le crime lors de la reconstitution judiciaire. Un geste qui n’est pas passé inaperçu et qui soulève des questions sur la responsabilité pénale de l’individu dans ce type de situation. Cet article se propose de revenir sur les faits et de mettre en lumière les enjeux liés à ce refus de coopération.
Jeudi, une reconstitution du meurtre de Madisson Hamoir a eu lieu à Sprimont. La jeune femme de 27 ans avait été tuée en septembre dernier par son ex-compagnon, David, d’une balle dans la tête. Les enquêteurs ont bouclé la rue de Damré pour l’occasion, accompagnés d’un juge d’instruction, d’avocats, d’experts en balistique et d’un médecin légiste. David Piton, le meurtrier présumé, refuse toujours de prendre en main la carabine qui a tué Madisson, selon son avocat. Les grands-parents de la victime, qui luttent actuellement pour obtenir la garde de leurs petits-enfants, se sont également exprimés sur l’affaire, qualifiant la décision de David de placer les enfants en institution de “révoltante”.
Wanda : Avec pop contre la perte
La perte, le chagrin et la mort, mais aussi le courage et l’amour. Tout cela a sa