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Real Madrid – Espanyol : L’équipe des perruches joue-t-elle avec le même enthousiasme au Bernabéu qu’au Camp Nou ?

Real Madrid – Espanyol : L’équipe des perruches joue-t-elle avec le même enthousiasme au Bernabéu qu’au Camp Nou ?
  • Trois journalistes perruches d’EL PERIÓDICO parlent de cette controverse classique

Ce samedi vient l’examen classique pour un Espanyol qui n’a pas passé avec une bonne note depuis 1996. L’équipe perruche visite le Real Madrid (14h00, bien sûr) avec le défi de mettre fin à une séquence négative qui dure près de 27 ans. Les bleus et blancs ne gagnent pas dans le Bernabéu depuis le 21 avril 1996, date à laquelle l’ensemble dirigé par José Antonio Camacho battre le bloc Arsène Iglesias avec un double de Jordi Lardín (1-2).

Depuis, les 25 visites en championnat se sont soldées par 22 défaites et 3 nuls. Le dernier duel, le 30 avril 2022, s’est terminé par 4-0 et alirón pour l’équipe blanche, qui a scellé le titre de champion contre les perroquets. Cette terrible statistique amène de nombreux Catalans à s’interroger sur l’intensité avec laquelle l’Espanyol joue dans le Bernabéu par rapport à la Camp Nou, où l’Espanyol n’a pas gagné depuis 2009, bien que le 31 décembre, ils aient fait match nul précieux. Notre trio classique d’analystes de perruches pèse dans le débat.

Jose Real: “Dire que l’Espanyol s’est toujours laissé gagner contre Madrid est une ignorance”

“L’Espanyol se laisse toujours gagner contre Madrid”. Combien de fois avons-nous entendu cette phrase de nos « amis » culés ? Une affirmation aussi lapidaire qu’ignorantpuisqu’il suffit d’un simple regard sur les statistiques contre les deux équipes pour observer que la plupart du temps palmamossans distinction de couleurs.

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De toute évidence, notre plus grand ennemi, le rival de que nous voulons plus battre c’est le Barça, il lui manquerait plus. Nous vivons sur le même territoire, la plupart de nos amis ou parents sont d’une escouade ou d’une autre. Les fans et les footballeurs vivent des derbies du plus jeune à l’adulte. sans doute que il y a un plus de motivation contre l’éternel rival, comme cela se passe dans toutes les villes partagées par deux équipes de haut niveau. Quel problème y a-t-il à reconnaître quelque chose d’aussi élémentaire ?

La seule question quand on affronte des équipes comme le Barça ou Madrid, c’est comment on peut lutter contre d’énormes inégalités économiquesen plus de aide colossale à l’arbitrage qui obtiennent l’un et l’autre. Et certains prétendent encore que les statistiques nous sont favorables. Quelle imprudence !

Judit Bertran : “L’Espanyol et le Barça sont voués à l’inimitié”

même zone géographique, même ligue et rancune mutuelle. Résultat? Victoire, tension, euphorie et beaucoup d’insultes. Les derbies ont toujours été bien plus intenses que n’importe quel autre match, et encore plus compte tenu de l’histoire qu’ont les deux clubs de la capitale catalane, un combat qui remonte bien plus loin que je ne me souvienne.

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Les perroquets ont été – et sont – potins pour les culés à de nombreuses reprises, le cible facile: que si “nous ne sommes pas une équipe de première classe”, que “nous ne sommes pas de Barcelone” (maintenant), ou que nous avons beaucoup de joueurs qui ont déjà joué pour le Barça… Tous ces facteurs contribuent à rendre un match beaucoup plus gratifiant victoire contre un club et supporters qui nous écrasent quand ils le peuventau lieu de contre une autre équipe à laquelle nous sommes indifférents et nous sommes un de plus dans la Ligue et n’a pas de rancune particulière contre nous.

Je peux mettre ma main dans le feu que beaucoup d’entre nous – sinon tous – on préfère une victoire au Camp Nou et une défaite au Bernabéu que l’inverse. Mais je pense que la même chose se produirait si on demandait à un Bétique s’il préférait une victoire avec Séville, ou un fan de l’Atlético contre Madrid. C’est une question, à mon avis, à laquelle il est facile de répondre, puisque le L’Espanyol et le Barça sont destinés à l’inimitié.

Ernest Alós : « Dans les deux domaines, vous sortez avec les mêmes attentes : palmaire »

Troisième date intergénérationnelle de perruche. Ils nous demandent cette fois si l’Espanyol prend un match au Camp Nou avec plus d’empressement qu’un au Bernabéu. Dans les deux cas, ils partent sur le terrain avec mêmes attentes : palmaire. Digne si possible. Et si la flûte sonne, fête.

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Qu’il soit clair que le discours de la ‘filiale de Madrid’ offense mais n’est pas surprenant, et que les statistiques ne confirment pas les sujets. C’est tout à fait cohérent depuis le nacionalbarcelonismo pour lequel il n’y a qu’une seule option politique décente (ou deux), une seule équipe avec des valeurs (ou deux) et une seule chaîne de supermarchés (ou deux s’ils vendent des km, même si le ‘mongeta aura’ vient du Qatar ou Turquie, je veux dire, de Hollande ou du Maroc). Et pour qui tout ce qui déforme cette image monolithique ne peut s’expliquer qu’en termes de pluralité réelle mais de colonialisme qu’un jour il sera supprimé.

Mais quant à la masse sociale, ‘pericomerengues’ mis à part… ‘trapis’ et gémissements de l’arbitre des deux grands suscitent, je pense, le même rejet. Mais le désir que vous avez pour quelqu’un qui vous regarde avec condescendance et/ou indifférence et quelqu’un qui Je souhaite ta mort Ce ne sont pas les mêmes, pourquoi se leurrer. Et que ça continue comme ça pendant de longues années : qu’on continue à les embêter.

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