Maison aux États-Unis.
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Sean « P Diddy » Combs.
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Selon les avocats, la répression était une « embuscade sans précédent » et faisait partie d’une « chasse aux sorcières fondée sur des allégations sans fondement ».
“Il y a eu un usage excessif de la force militaire lorsque les perquisitions ont été menées au domicile de M. Combs”, a déclaré l’avocat Aaron Dyer dans un communiqué.
Les autorités n’ont pas encore précisé pourquoi ces perquisitions ont été menées ni si elles sont liées aux allégations d’agression sexuelle portées contre Combs par plusieurs personnes.
En novembre dernier, Combs a été poursuivi en justice par son ex-petite amie Cassie, de son vrai nom Casandra Ventura. Elle l’a accusé de viol et d’abus. Ils sont alors parvenus à un règlement.
Depuis, trois autres femmes ont poursuivi Combs, l’accusant de les avoir agressées sexuellement.
De plus, un producteur, Rodney Jones, a accusé Combs, entre autres, de l’avoir peloté et de l’avoir forcé à avoir des relations sexuelles avec des prostituées. L’avocat de Combs a fait valoir qu’il existe « des preuves accablantes et irréfutables » démontrant que les allégations sont des mensonges.
