Nouvelles Du Monde

Racines et parentés de Jean-Louis Trintignant : du record dans l’air !

Racines et parentés de Jean-Louis Trintignant : du record dans l’air !

Né en 1930 à Piolenc, tout près d’Orange, Jean-Louis Trintignant était au plan généalogique d’abord et avant tout un homme du sud, avec en effet toutes ses racines concentrées au sud de Valence : majoritairement dans le Gard, à Pont-Saint-Esprit, Saint-André-de-Roquepertuis, puis dans la Drôme, à Montélimar et aux environs, dans le Vaucluse (Bollène) ainsi qu’au sud de l’Ardèche (Banne, Berrias-et-Casteljau, Saint-Alban-Auriolles…) et dans les Bouches-du-Rhône, à Saint-Rémy-de-Provence. Il était aussi issu de milieux bourgeois, avec ses ancêtres proches industriels, propriétaires…,hormis un aïeul cocher (François Xavier Cheissen/Cheyssen), gendre d’un plâtrier (Joseph Rouvière, époux de Thérèse Viaud, un couple d’habitants de Saint-Rémy-de-Provence, sur lequel tous les chercheurs se sont jusqu’à aujourd’hui casséles dents. À bon généalogiste, salut !… Un arbre généalogique assez bien connu, le plus complet des arbres en ligne étant celui proposé par Geneastar.

La lignée patronymique a pour berceau la ville de Pont-Saint-Esprit, dans le Gard, où les ancêtres se sont plusieurs générations durant succédés comme faïenciers, depuis un Jean Trintignan

Reste le mystère des origines plus anciennes, restant elles aussi introuvables à ce jour, avec toutefois une famille Trintignant connue vers 1700 à Saint-Mamert-du-Gard et des souches Trintignan dans diverses communes du département (Beaucaire, Cabrières et surtout Panignargues et Saint-Gervasy, où une lignée peut y être remontée jusqu’au tout début du XVIIème siècle…). Un nom que tout porte enfn à considérer comme étant une déformation du nom de lieu Trintignac.

Lire aussi  Le vice-président Cevdet Yılmaz rend visite aux mères de Diyarbakır : aucune organisation ne peut sous-estimer leur importance

Ajoutons quelques éléments de généalogie descendante, avec ici une famille offrant une des plus étonnantes galaxies généalogiques du monde du showbiz.

Jean-Louis Trintignant a été marié deux fois : 1. en 1954, avec l’actrice Stéphane Audran (née en 1932, à l’état civil Colette Dacheville, remariée au cinéaste Claude Chabrol (1930-2010), dont elle aura un fils, Thomas Chabrol (né en 1963, acteur et réalisateur). 2. en 1961, avec Lucienne Marquand, connue comme réalisatrice, sous son nom d’épouse, Nadine Trintignant, remariée au cinéaste Alain Corneau, elle aussi issue d’une famille du sud, par laquelle on peut trouver des liens avec Dominique Sanda, Judith Godrèche, Didier Decoin, Tina Aumont, fille de Jean-Pierre Aumont et de Maria Montez…

Jean-Louis et Nadine Trintignant ont eu trois enfants : une fille, Pauline (dont la mort brutale, en1966, est une terrible épreuve pour le couple), l’acteur et scénariste, Vincent Trintignant (1973) et l’actrice Marie Trintignant (1962-2003), que sa mère avait fait tourner dans un de ses films dès l’âge de quatre ans et qui décèdera en août 2003, à la suite d’une dispute, avec son compagnon, le chanteur Bertrand Cantat (frère du photographe Xavier Cantat, mari de la femme politique Cécile Duflot). Marie Trintignant était mère de quatre garçons, nés de quatre pères différents : Roman (1986), fils de Richard Kolinka (batteur du groupe Téléphone) ; Paul (1986), fils de l’acteur François Cluzet ; Léon (1996), fils de Mathias Othnin-Girard ; Jules (1998), fils de l’écrivain réalisateur Samuel Benchetrit (qui aura ensuite un fils, avec l’actrice Anna Mouglalis).

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.

ADVERTISEMENT