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Rachat de CS par UBS – Les réactions à l’opération de sauvetage de CS – News

Rachat de CS par UBS – Les réactions à l’opération de sauvetage de CS – News

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Louanges, critiques et une dose de sarcasme – la fin de la banque traditionnelle Credit Suisse donne de quoi parler.

UBS avale Credit Suisse (CS). Vous payez trois milliards de francs suisses pour cela. La nouvelle de ce rachat historique a fait le tour du monde et de la Suisse.

Médias : Trouver les coupables

Au Royaume-Uni, le «Financial Times» : Les autorités suisses n’auraient pas vraiment eu le choix. En fin de compte, les clients de CS ont décidé du sort de la banque en retirant de l’argent de la banque en masse.

En Allemagne, par exemple, le «Frankfurter Allgemeine» le problème est plus avec l’autorité de surveillance des marchés financiers Finma. Donc, il est dit : “Les surveillants en Suisse doivent être détenus dans tous les cas.” Le “Spiegel» écrit d’un « point final dégradant d’une descente – et peut-être le début d’une crise encore plus grande ».

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Mourir “NZZ» signifie à son tour : « Un zombie est parti, mais un monstre est né. » Monstre parce que le nouvel UBS est maintenant vraiment trop grand pour le laisser couler. Et le “indicateur journalier» écrit d’un « scandale historique ». La Confédération, la Finma et la Banque nationale se seraient fait arnaquer par UBS. Le cas Credit Suisse est aussi un cas de place financière suisse, commente le «Blick». La Suisse a dormi et regardé bien trop longtemps alors que la fière Escher Bank glissait les yeux écarquillés vers sa disparition.

Expert financier suisse romand: UBS n’a que peu d’intérêt pour une fusion


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Selon l’expert financier suisse romand François Savary, le Conseil fédéral a en fait persuadé UBS d’acheter CS. UBS a du mal à trouver un intérêt purement économique à la fusion, a commenté le patron des investissements de Prime Partners dans le journal “Le Courrier”.

Pour preuve, l’expert financier a cité le nombre de conditions qu’UBS avait posées à la réalisation de la fusion. “Prix bas, garanties, émission de credit default swaps : UBS voulait limiter au maximum le risque de perte dans la transaction”, explique Savary. Par conséquent, la banque a initialement proposé 1 milliard de francs pour la reprise, à condition que le gouvernement fédéral accorde 5 milliards de francs à titre de garantie pour les investissements de la banque d’investissement, la partie la moins saine de CS.

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Banques centrales : l’unité est à l’ordre du jour

Peu de critiques, mais des éloges de la part des autorités monétaires les plus importantes. “Nous saluons les annonces des autorités suisses pour soutenir la stabilité financière”, a déclaré le chef de la Réserve fédérale américaineJerome Powell et la secrétaire au Trésor américaine Janet Yellen dans un communiqué dimanche soir.

Le trouve presque le même libellé banque d’Angleterre (BoE): “Nous saluons le train de mesures complet présenté aujourd’hui par les autorités suisses pour soutenir la stabilité financière.” La BoE a travaillé en étroite collaboration avec ses partenaires pendant les préparatifs tout au long des préparatifs et les soutiendra dans la mise en œuvre.

Semblable à l’avis de Banque centrale européenne: La présidente Christine Lagarde s’est félicitée de la rapidité d’action et des décisions prises par les autorités suisses. “Ils sont essentiels pour rétablir des conditions de marché ordonnées et assurer la stabilité financière.”

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Les associations soutiennent l’opération de sauvetage

Pour le Organisation faîtière économique Economiesuisse le Conseil fédéral a empêché une déstabilisation de la place financière suisse aux conséquences imprévisibles. Au vu des événements qui se déroulent, Economiesuisse soutient cette démarche, a-t-elle indiqué dans un communiqué. Cependant, on regrette qu’on en soit arrivé là.

Le Confédération syndicale suisse (SGB) souhaite soutenir l’Association suisse du personnel de banque dans la sécurisation de l’emploi des collaborateurs concernés. Un groupe de travail est maintenant nécessaire rapidement pour s’assurer que le plus d’emplois possible soient préservés. Un bon plan social est également nécessaire pour ceux qui perdraient leur emploi.

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L’avenir du Credit Suisse est décidé : UBS va racheter son concurrent pour trois milliards de francs.

REUTERS/Denis Balibouse

Pour le Association des Banques Cantonales Suisses (VSKB), la solution trouvée apporte de la clarté compte tenu des incertitudes croissantes sur le marché ces derniers jours. Elle contribue à maintenir la confiance dans la place financière suisse en Suisse et à l’étranger.

Credit Suisse: Rachat par UBS


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Les logos du Credit Suisse et d'UBS sont apposés sur le siège de l'entreprise.

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KEYSTONE/Michael Buholzer

La grande banque Credit Suisse est reprise par UBS. Le plus récent Vous trouverez ici les développements relatifs au CS et à la crise bancaire actuelle en Suisse ainsi que les réactions et les évaluations.

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